Alors que ses «alliés», dont le bien très puissant Iran, s’écroulent comme un château de cartes et que le grand frère russe regarde ailleurs, l’Algérie de la junte attend son tour, la peur au ventre. N’ayant plus que la wilaya Tunisie comme seule extension de son influence régionale, elle voit même le petit protégé du Polisario lui préférer Daech ou AQMI. Contre les sanctions à venir ou, pire, les visites surprises des F-35, il n’y a désormais plus d’abri.