Désavouée par l’Institut du monde arabe (IMA, Paris), où elle est déclarée persona non grata, l’activiste du polisario, Aziza Ibrahim, a mis à profit les sirènes bêlantes du séparatisme flamand pour décrocher deux concerts à Anvers et Gand, deux villes où il y a une forte concentration de la communauté flamande.
A Anvers, l’activiste séparatiste se produira à la salle Arenberg (26 mars) et à Gand, au Handelsbeurs (28 mars).
Sur les sites des deux salles, l'activiste du polisario est présentée comme "la voix du désert qui se bat pour la libération du Sahara occidental occupé par le Maroc".
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Un drôle de combat mené par cette zouave du front polisario, qui utilise la noble cause artistique pour servir la soupe à un mouvement séparatiste férocement répressif.
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