Nizar Baraka réélu secrétaire général du Parti de l’Istiqlal

Nizar Baraka, secrétaire général du Parti de l'Istiqlal, lors du Conseil national de la formation politique, tenu le 2 mars 2024 à Bouznika.

Nizar Baraka a été réélu à l’unanimité, aux premières heures de ce dimanche à Bouznika, secrétaire général du Parti de l’Istiqlal pour un second mandat, au terme de l’opération de vote qui s’est déroulée lors de la première session du Conseil national du parti.

Le 28/04/2024 à 09h05

Nizar Baraka était candidat unique après que Rachid Afilal ait retiré sa candidature pour le poste de secrétaire général du parti, qui tient son 18ème Congrès national sous le thème «Renouveler le pacte pour la patrie et le citoyen».

Dans une allocution prononcée à cette occasion, Baraka a salué les efforts de l’ensemble des Istiqlaliens pour avoir fait de cette étape « historique » un succès et pour avoir renouvelé la confiance dans le «projet collectif» amorcé lors du 17ème congrès, exprimant sa détermination à poursuivre la mise en œuvre dudit projet en traçant la prochaine étape afin d’améliorer la performance du parti, son positionnement et son rayonnement, ainsi que son efficacité au service de la Nation et des citoyens.

Par ailleurs, il a insisté sur la mise en oeuvre des recommandations du 18ème congrès, dans le cadre d’une nouvelle stratégie qui définit de manière claire et précise les objectifs et les plans d’action afin que le parti soit au rendez-vous pour les prochaines élections et continue d’agir pour renforcer et élargir la réconciliation et la confiance au sein du PI.

Ces recommandations et conclusions, a ajouté Baraka, concernent également la consolidation, la promotion et l’enrichissement du référentiel égalitaire, en le plaçant à l’avant-garde des référentiels intellectuels et politiques qui apportent des solutions innovantes et appropriées aux besoins du citoyen et aux aspirations de développement, de solidarité et de progrès du pays.

Le secrétaire général du Parti de l’Istiqlal a mis en évidence le renforcement de la position du parti dans la majorité gouvernementale, notant que la scène partisane et politique nationale traverse aujourd’hui un moment de révision, de restructuration et d’édification, ce qui constitue une opportunité qui permet au parti de retrouver sa place naturelle et influente en tant que composante de la majorité et de la vie politique et institutionnelle.

A noter que les travaux du Conseil national du parti se poursuivaient pour élire les membres du Comité exécutif.

Par Le360 (avec MAP)
Le 28/04/2024 à 09h05

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Bof, un vieux de la vieille de ce parti has been, qui souhaite rester solidement coller à son trône jusqu'à son départ vers d'autres cieux! Et nos jeunes universitaires, diplômés et cultivés!? Bah ça compte pour du beurre, disons dans les prochaines décennies! Ça me rappelle un certain vieux crétin d'un parti des barbus dont j'ai oublié le nom, s'est soudé son train arrière sur le trône pour rester aux commandes de sa secte et à vie, qui est actuellement en décomposition avancée! Bon, il ne faut pas être doué en devinettes pour savoir le nom de cette vieille bobine. Yalatif, certains de nos vieux politiques ont ce défaut de rester accrochés à leur trône comme des morpions. J'aime mon pays et mon Roi, mais un certain moment, il faut un dépoussiérage de fond en comble au niveau politique.

Un peu marre des ces partis bananiers. Le congrès de ce grand parti historique a eu lieu avec 3 ans de retard. Mais ce retard n'est pas unique. C'est le respect de la loi sur les partis qui leur impose un congrès au moins une fois tous les 4 ans qui est l'exception. Que fait donc l'exécutif pour appliquer cette loi ? Mais, suis-je bête, cet exécutif provient de ces mêmes partis. Ne dit-on pas que les loups ne se mangent pas entre-eux ? Et certains se posent encore la question de la confiance que les marocains ont envers les partis et la politique. Et où en est-on donc avec le code de la déontologie des parlementeurs, pardon des parlementaires ?

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