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Une autre figure de la classe politique française semble céder aux sirènes du régime algérien. C’est Dominique de Villepin, l’ancien bras droit de Jacques Chirac, le président le plus pro-marocain de la cinquième république.

Après une traversée du désert qui aura duré de plus de deux ans au sein de Parti authenticité et modernité (PAM, majorité), Hicham El Mhajri, haut cadre et homme politique aguerri, a réussi, ce samedi 31 mai 2025 à Rabat, à intégrer le bureau politique de la formation du Tracteur au terme des travaux du Conseil national du parti.

Les partis politiques ont-ils bonne presse? Avec le rapport de la Cour des comptes publié le 27 mai sur l’audit de leurs comptes, force est de faire ce constat amer: c’est une moins value supplémentaire qui déboule. Un débat de fond.

La Cour des comptes a publié ce mardi 27 mai 2025 son rapport relatif à l’audit des comptes des partis politiques au titre de l’année 2023. Le document passe au peigne fin la situation des dépenses déclarées au titre du soutien public destiné à la couverture de leurs frais de gestion et à l’organisation de leurs congrès nationaux. Les détails.

Le Parti Démocratique Gabonais (PDG), ex-parti au pouvoir depuis sa création en 1968, traverse l’une des crises les plus profondes de son histoire. Depuis la chute du régime d’Ali Bongo Ondimba en août 2023, la formation politique peine à se réorganiser. A deux mois des élections législatives et locales, la désunion dans les rangs du PDG pourrait faire le lit du Rassemblement des Bâtisseurs (RDB), le nouveau parti présidentiel.

À l’approche des échéances électorales, alors que les partis politiques intensifient leurs activités, entre contrôle gouvernemental et campagnes de terrain, le ministère de l’Intérieur appelle à la modération. Parallèlement, le département d’Abdelouafi Laftit entame des études techniques préparatoires aux consultations électorales. Une revue de presse du quotidien Assabah.

Dans le contexte actuel, il serait intéressant d’étudier la possibilité d’annuler les prochaines élections législatives. Et d’opter pour un gouvernement de transition nommé par le Roi, où les ministres ne seront pas désignés sur la base de leurs affiliations partisanes, mais sur la base de leurs compétences, leurs expertises et leur patriotisme.

Sous l’égide du Conseil national de la démocratie (CND), la classe politique gabonaise est à l’heure des grandes décisions. Réunis depuis le jeudi 8 mai en commission, les représentants des partis se penchent sur deux projets majeurs: la refondation du cadre juridique de création des partis politiques et la mise en place de sièges de députés pour la diaspora. Deux chantiers sensibles pour un pays qui compte 104 partis agréés pour une population de 2,5 millions d’habitants.