De Matignon à une auberge de Sidi Kaouki, le périple marocain hors des sentiers battus d’Élisabeth Borne

L'ex-Première ministre française Élisabeth Borne, lors de son séjour à Marrakech, ici avec son guide-accompagnateur Jamal Saadi.

De retour à l’Assemblée nationale après son départ de Matignon il y a un mois, l’ancienne première ministre française a, dans l’intervalle, rechargé ses batteries lors d’un périple entre Marrakech et la région d’Essaouira.

Le 13/02/2024 à 10h34

Dans son édition du 12 février, le quotidien français Le Monde consacre un article au retour sur le devant de la scène politique d’Élisabeth Borne, attendue ce mardi dans l’Hémicycle de l’Assemblée nationale. La publication s’attarde en premier lieu sur le moment de répit que s’est accordé au Maroc l’ancienne première ministre d’Emmanuel Macron.

Ainsi, relève-t-on, «en dépit des fâcheries diplomatiques, le Maroc reste un lieu de villégiature prisé des personnalités politiques françaises en quête de soleil et de dépaysement». Et il faut croire qu’Élisabeth Borne ne déroge pas à la règle. Elle, qui était déjà venue à Marrakech en 2019, alors qu’elle était ministre de la Transition écologique et solidaire, a ainsi choisi d’y revenir lors d’un bref séjour pour «tourner la page de Matignon».

Des vacances en mode incognito, immortalisées par des passants dans les ruelles de la médina de la ville ocre, où l’ancienne première ministre a été aperçue, et par une photo prise en compagnie de son guide accompagnateur, Jamal Saadi.

Elle a ensuite entrepris «une longue randonnée entre Essaouira et Agadir (175 km) avec quelques amis», et toujours selon Le Monde, elle serait «descendue dans un petit hôtel de routards sur la plage de Sidi Kaouki, au sud d’Essaouira».

«Elle rit encore de la nervosité des policiers marocains affectés à sa sécurité, plus habitués à surveiller les abords des palaces du royaume, où séjournent en général les responsables politiques français, que les anciens repaires de hippies sans électricité», poursuit-on au sujet de ces vacances hors des sentiers battus de la femme politique française.

Par Leïla Driss
Le 13/02/2024 à 10h34

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Si elle n'a pas son couscous dans la minute elle va annoncer un 49.3

Un des personnels politique les plus hostiles au Maroc et aux maghrébins, Il faut savoir que sous son ministère à émis les dispositions discriminatoires et racistes contre les maghrébins réglementaires et législatives les plus dures vues en 30 ans Sans compter les violences d'Etat institutionnelles ciblant cette communauté maghrébine Incompréhension

Elle va probalement se dechainer contre les intêrets du Maroc, avec.en tandem.Sami Sajourni en poste

Pourquoi cette anti-maroc et anti-monarchie millénaire marocaine ne va pas passer ses vacances dans leur ex-bordel de 132 ans ?! Purée aucune dignité ces has been politicards (es) français! Mes respects au peuple français amoureux du Maroc.

puisqu'ils aiment autant notre pays, pourquoi ils s'ingénient , quand ils sont en poste, à nuire à ses intérêts?

Pardi, il y avait un agenda bien défini, en premier stopper le développement du Maroc, décidé en catimini par le Microbe ni homme, ni femme en connivence à l'époque avec la truie Merkel, d'ailleurs un rapport des renseignements allemands révèlerait l’hostilité de Berlin envers Rabat, mais la patte du Microbe n'est jamais loin et à la même période l'actuel ministre des AE S. Séjourné s'attaquait durement au Maroc au parlement européen,donc, Il n'y a pas de fumée sans feu. Toutes ces attaques ont été coordonnées pour maintenir sous pression le Maroc y compris son intégrité territoriale. Dès le départ de la truie Merkel, l'administration allemande a fait un virage à 180 degrés en faveur du Maroc en reconnaissant son Sahara y compris l'Espagne! Vertrauen sie niemals der französischen Regierung

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