#DigitalFikra: 350 propositions d’internautes pour booster l’économie numérique

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Revue de presseKiosque360. 350 propositions d’internautes ont déjà été recueillies, le 8 janvier, après le lancement du #DigitalFikra, pour dynamiser l’économie numérique et participer ainsi à l’élaboration de la feuille de route de l’Agence du développement digital. Le point.

Le 08/01/2018 à 20h56

Sur la Toile, les idées pour booster l’économique numérique au Maroc fusent à travers le hashtag #DigitalFikra, lancé il y a quelques jours par Othmane El Ferdaous, le secrétaire d’Etat chargé de l’Investissement auprès du ministre de l’Industrie, du Commerce et de l’Economie numérique. Une initiative pour donner la parole aux Internautes. Ils ont encore jusqu’au 14 janvier pour partager des idées qui alimenteront peut-être la feuille de route de l’Agence du développement digital, laquelle a donné son premier conseil d’administration le 22 décembre 2017 et a pour but d’accélérer la transformation numérique dans le pays, rapporte Aujourd’hui le Maroc dans son édition de ce 9 janvier. Des idées qui doivent concerner l’écosystème start-up au Maroc et les relations que devrait établir cette institution avec la communauté des innovateurs.

A mi-parcours, pas moins de 350 idées émanant de 120 participants -dont 12% de femmes- ont été récoltées, comme l’a fait savoir Othmane El Ferdaous. Les propositions? Elles évoquent la création d’un comité digital des banques participatives, le lancement d’un concours annuel d’innovation et de création de start-up pour des binômes (écoles d’ingénieurs, écoles de commerce), la mise en place d’un label qualité-excellence pour les universités et écoles d’ingénieurs, ainsi que le développement d’un modèle d’éducation aux nouvelles technologies, notamment à travers l’établissement des TechnoMokhayam pour, entre autres, sensibiliser les enfants à la sécurité informatique, précise le quotidien. Ce n’est pas tout: les internautes proposent aussi la création d’une bourse nationale d’études dans les grandes écoles à l’étranger, avec comme condition l’obligation d’exercer au Maroc ou dans une entreprise marocaine pendant 2 ans. A suivre.

Par Fayçal Ismaili
Le 08/01/2018 à 20h56