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L’économie égyptienne est en crise depuis des années, mais avec la dernière série de réformes imposées par le Fonds monétaire international (FMI), une grande partie de la classe moyenne peine à s’offrir des biens naguère considérés comme des produits de base.

Augmentations des salaires, subventions pour les produits de première nécessité, incitations fiscales, suspension de droits douaniers pour l’importation de produits jugés essentiels… Le projet de loi de Finances 2025 propose quelques mesures pour soutenir le pouvoir d’achat. Une revue de presse de L’Observateur du Maroc et d’Afrique.

Que nous soyons d’accord ou pas, le smartphone a provoqué de grandes perturbations au niveau individuel, relationnel et social. Il nous facilite énormément la vie, mais son utilisation irraisonnée est nocive. Ahmed, jeune homme vivant à la campagne, m’a suppliée d’écrire cette chronique afin de raconter son histoire.

Qu’est-ce qui s’est passé cette année pour que l’un des fruits les plus populaires du Maroc devienne si rare et atteigne un prix exorbitant?

À Marrakech, les cliquetis des taârijas se sont faits plus discrets cette fête de Achoura. Selon plusieurs commerçants, l’affluence sur le marché des instruments de musique traditionnels a nettement diminué cette année. Reportage.

L’exonération de certains produits de large consommation de la TVA, apportée par la loi de finances 2024, censée réduire le coût de cette taxe pour soutenir le pouvoir d’achat des consommateurs, n’a pas produit l’effet escompté, selon deux économistes que nous avons fait réagir, Mehdi Lahlou et Mohammed Jadri.

Par la voix de son porte-parole, Mustapha Baïtas, le gouvernement vient de mettre en relief la batterie de mesures qu’il a entrepris d’appliquer pour faire face à l’inflation et préserver le pouvoir d’achat des citoyens. Mais son taux reste élevé malgré les efforts réalisés pour faire baisser les prix de plusieurs produits.

Face à la hausse des prix des moutons cette année, de nombreux Marocains sont tentés de se tourner vers l’achat de caprins, comme les chèvres et les boucs, moins onéreux. D’autres se cotisent et optent pour des bovins comme les vaches et les veaux.