Tous les articles correspondant à #Ordures

Sidi Moussa: le littoral de Salé transformé en dépotoir à ciel ouvert
Entre déchets, gravats et marées qui ramènent ordures et débris, habitants et commerçants dénoncent l’inaction des élus et l’enlisement des projets de réhabilitation. Cet article, est une revue de presse, tirée du quotidien Al Akhbar.
Décharge de Médiouna: les anciens propriétaires du terrain remontés contre la ville, Mhidia à la rescousse
Accusée de retarder le versement des compensations liées à la cession de 264 hectares de terrains collectifs pour la future décharge publique, la mairie de Casablanca est directement pointée du doigt par plus de 1.270 ayants droit. Les concernés ont enfin pu souffler, après les assurances données par le wali, Mohamed Mhidia. Cet article est une revue de presse tirée des quotidiens Al Ahdath Al Maghribia et Assabah.
Tanger: submergée par les déchets, la plage de Oued Alian perd de son attrait touristique
À une trentaine de kilomètres de Tanger, la plage de Oued Alian, jadis prisée par les estivants, est aujourd’hui confrontée à une grave crise environnementale. Accumulation d’ordures, absence d’entretien et manque d’infrastructures sanitaires ternissent l’image de ce site balnéaire du littoral méditerranéen, au grand dam des visiteurs et des habitants.
Gestion de la propreté: l’échec cuisant de la mairie de Casablanca, malgré un budget revu à la hausse
Malgré des investissements massifs, la métropole économique du Royaume peine à endiguer la crise de l’hygiène. Entre gestion déléguée controversée et initiatives récentes, la mairie tente de répondre aux critiques tout en sensibilisant citoyens et acteurs privés. Une revue de presse tirée du quotidien Al Ahdath Al Maghribia.
Maârif submergé par les ordures: les habitants dénoncent une situation alarmante
Quartier emblématique de Casablanca, Maârif fait aujourd’hui face à une dégradation alarmante de son cadre de vie. En cause: l’absence de conteneurs à ordures qui transforme les rues en décharges à ciel ouvert. Résidents et acteurs associatifs tirent la sonnette d’alarme et appellent les autorités à une réaction urgente.
Fès croule sous les déchets: 220 millions de dirhams pour rien?
À Fès, les promesses de renouveau dans le secteur de la propreté urbaine peinent à se concrétiser. Malgré l’entrée en fonction, début juillet, de deux nouvelles entreprises, Mecomar et SOS, dans le cadre d’un contrat de plus de 220 millions de dirhams, les quartiers de la capitale spirituelle du Royaume continuent de souffrir d’un environnement dégradé. Une situation qui suscite colère et incompréhension chez les habitants.
Côte d’Ivoire: à Adjamé, ça sent l’urine, les rats pullulent et les immondices s’entassent
Le visage qu’offre Adjamé, une commune d’Abidjan, est loin d’une Côte d’Ivoire qui se veut belle, attrayante et qui multiplie les efforts pour offrir un cadre de vie sain à ses citoyens. Les responsables locaux sont interpellés par les habitants qui craignent pour leur santé.
C’est la saison des pluies en Guinée: les cultures maraichères noyées sous les ordures
Les bas-fonds, ces terres fertiles situées en contrebas de cours d’eau, sont victimes de la topographie et du comportement humain. La saison des pluies, l’une des plus intenses d’Afrique de l’Ouest, est également la période de l’année durant laquelle les déchets emportés par les eaux finissent leur parcours dans les parcelles de légumes. Des familles entières se retrouvent privées de revenus.
Salé: des remparts restaurés à prix d’or, mais abandonnés aux détritus
Les remparts de Salé, classés patrimoine historique depuis 1914 et restaurés il y a trois ans grâce à un budget de 10 millions de dirhams, ont été transformés en dépotoir. Une revue de presse tirée du quotidien Al Akhbar.
Côte d’Ivoire: plusieurs villes dotées de nouveaux équipements pour le maintien de l’hygiène publique
L’État multiplie les initiatives pour une gestion raisonnée des déchets solides à travers l’Agence nationale de gestion des déchets (ANAGED) qui vient de doter six collectivités en équipements de salubrité publique d’une valeur de 400 millions de francs cfa.