Tous les articles correspondant à #Kaïs Saïed

ComEx de la CAF: la Tunisie soumise de Kaïs Saïed se retire au profit de l’Algérie
La Tunisie vient de retirer, à la dernière minute, la candidature de Hussein Jenayah pour siéger au Comité exécutif de la Confédération africaine de football (CAF), laissant la voie libre à Walid Sadi, patron de la fédération algérienne. Ce renoncement, qui dépasse le contexte sportif, illustre la dépendance croissante de l’État tunisien vis-à-vis de la junte algérienne. Les médias algériens fanfaronnent même sur le fait que le retrait de la candidature tunisienne a fait suite à un appel du président Abdelmadjid Tebboune à Kaïs Saïed.
Revue du web. El Jadida: record d’affluence au salon du cheval avec plus de 200.000 spectateurs
El Jadida: clôture du salon du cheval et record d’affluence de plus de 200.000 spectateurs; Rabat: une marche de solidarité avec la Palestine et le Liban; Tunisie: sans surprise, Kais Saïed réélu à la présidence non sans avoir laminé ses adversaires. Round-up.
Une très faible participation, un score stalinien: Kaïs Saïed rempile à la tête de la Tunisie
Avec un taux de participation de 27,7%, le plus faible depuis le renversement de Ben Ali en 2011, le chef de l’État tunisien sortant Kaïs Saïed, accusé de «dérive autoritaire», a remporté les élections présidentielles du dimanche 6 octobre. Avec le score édifiant de 89,2% des voix.
Tunisie: une présidentielle sans surprise avec Kais Saied en tête d’affiche
Les Tunisiens élisent dimanche leur président lors d’un scrutin où le chef d’Etat sortant Kais Saied part favori et qui suscite peu d’enthousiasme auprès d’une population plus préoccupée par ses difficultés économiques que par «la dérive autoritaire» dénoncée par la société civile.
L’œil de Gueddar. Avec Kaïs Saïed, la Tunisie s’installe confortablement dans la terreur et le despotisme
Tunisie: opposants arrêtés, migrants dénigrés, journalistes bâillonnés... La machine répressive tourne à plein régime
A quelques mois de l’élection présidentielle d’octobre prochain, la répression des voix discordantes exercée par le régime tunisien ne connaît pas de répit. Cette vague n’épargne ni les opposants, ni les journalistes et encore moins les avocats et les migrants. Ce système liberticide est dénoncé aussi bien en Tunisie qu’à l’étranger.
Mini-sommet en Tunisie en vue de constater l’impossibilité d’un Maghreb sans le Maroc
Ce lundi s’est ouvert à Tunis un mini-sommet tripartite entre les chefs d’État tunisien et algérien, ainsi que le président du Conseil présidentiel de Libye. À défaut de pouvoir instaurer un nouveau regroupement maghrébin sans le Maroc, à cause de l’opposition de la Libye, pourtant présente, et de la Mauritanie, absente, le régime algérien tente de faire émerger un cadre informel où il compte afficher un leadership régional de façade.
Tunisie: l’ex-président Moncef Marzouki condamné par contumace à huit ans de prison
L’ancien président tunisien Moncef Marzouki, critique virulent du chef de l’État actuel Kaïs Saïed, a été condamné par contumace à huit ans de prison, ont indiqué vendredi soir des médias locaux. Il a été reconnu coupable par le Tribunal de première instance de Tunis d’avoir tenté de «changer la forme du gouvernement» et de «provoquer le désordre et le pillage» dans le pays.
Tunisie: nouvelle condamnation à 3 ans de prison pour le chef du parti Ennahdha, Rached Ghannouchi
Le chef incarcéré du parti d’opposition tunisien Ennahdha, Rached Ghannouchi, a été condamné jeudi à une nouvelle peine de prison de trois ans pour financement illégal de sa formation, a indiqué son avocat.
Il insulte Israël, mais interdit une loi criminalisant la normalisation: le gouffre séparant les paroles de Kaïss Saïed de ses actes
Alors qu’il ne rate aucune occasion pour fustiger l’État d’Israël et haranguer les foules contre «l’entité sioniste», le président tunisien n’a pas hésité à faire barrage à une proposition de loin incriminant toute forme de normalisation avec ce pays. Une ambivalence qui rappelle l’abstention de la Tunisie à l’ONU lors du vote d’une résolution condamnant l’État hébreu, et souligne le fossé entre le discours et les actes du nouveau «régent de Carthage».