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Après fait forte impression après des acteurs américains Richard Gere et Kevin Costner lors du dernier Festival de Cannes, Rachida Dati s’est laissée aller, dans une interview accordée au magazine «Gala», à quelques confidences sur ses liens avec une autre star d’Hollywood.

Nabil Ayouch a présenté son dernier film «Everybody loves Touda» au dernier Festival de Cannes. Avec du recul, le cinéaste en parle dans cet entretien avec Le360.

La ministre française de la Culture d’origine marocaine n’en finit pas de briller à Cannes, où elle a fait sensation tant sur le tapis rouge que lors de ses rencontres avec des monstres sacrés du cinéma hollywoodien.

Le festival cannois, qui se tiendra du 14 au 25 mai, vient de dévoiler la composition de son jury. Sous la présidence de la réalisatrice américaine Greta Gerwig officieront notamment l’actrice et réalisatrice libanaise Nadine Labaki, l’acteur français Omar Sy et le cinéaste japonais Hirokazu Kore-Eda.

La réalisatrice marocaine Asmae El Moudir fait partie de la liste des membres du jury de la catégorie «Un certain regard», dévoilée par l’organisation du 77ème Festival de Cannes, qui se tiendra du 14 au 25 mai.

C’est à l’actrice maroco-belge Lubna Azabal qu’a été confiée la présidence du jury des courts-métrages et de La Cinef lors du Festival de Cannes 2024, qui se déroulera du 14 au 25 mai 2024.

Un an après la sélection au Festival de Cannes de «Déserts», de Faouzi Bensaïdi, à la Quinzaine des cinéastes, et des «Meutes» de Kamal Lazraq, prix du jury dans la section Un certain regard, «La Mer au loin», second long-métrage de Saïd Hamich Benlarbi, également coproduit par la société de production marocaine Mont Fleuri, sera projeté à la Semaine de la critique de la manifestation cannoise.

Les prétendants aux Oscars doivent être dévoilés mardi et si Hollywood s’attend à une déferlante de nominations pour l’incontournable duo «Oppenheimer» et «Barbie», le cinéma marocain espère voir «La Mère de tous les mensonges» dans la liste des nominés pour l’Oscar du film étranger.

Puissant, juste, le premier long métrage de Kamal Lazraq mérite un triomphe en salles. Et au Maroc, s’il vous plaît.