Tous les articles correspondant à #Déficit Hydrique

La dynamique globale de l’économie marocaine reste positive. Le renforcement des exportations et la reprise des investissements devraient soutenir la croissance, tandis que l’amélioration du marché du travail et de la consommation intérieure augure d’une consolidation de la demande. Cet article est une revue de presse tirée du quotidien Les Inspirations Eco.

Les déficits pluviométriques et les températures élevées n’ont pas fini de compromettre les rendements des cultures sur le continent. Selon la FAO, les perspectives de la production céréalière en Afrique sera confrontée à des perspectives mitigées.

Le retour des pluies que connait actuellement le Maroc ne devrait pas changer le cours des choses pour la céréaliculture qui a été très affectée par le retard des précipitations au début de la saison agricole, selon un ingénieur agronome.

En tout, ce sont 8,5 millions de dirhams qui seront mobilisés par l’Office national de l’électricité et de l’eau potable (ONEE) pour réaliser des études sur l’alimentation en eau potable par le dessalement d’eau de mer dans la région de Rabat. Une revue de presse de La Vie Éco.

Jadis riches en ressources hydrauliques, les régions de Midelt, de Khénifra et de Draâ-Tafilet sont devenues, à cause de la sécheresse aiguë, des territoires où l’eau potable est une denrée rare.

L'Oum Errabiî, le deuxième plus grand oued du Maroc, est lui aussi touché par les effets de la sécheresse. A fin août 2022, les précipitations totales enregistrées dans le bassin d'Oum Errabiî ont atteint une hauteur de 200 mm, alors qu'en moyenne, les précipitations sont de 420 mm. Un déficit de 53%, confirme un ingénieur en hydraulique.