L'intéressé avait été condamné en 2016 par la chambre criminelle de Première Instance de la Cour d’Appel de Rabat à six ans de prison ferme, avant que la chambre criminelle de la Cour d’Appel ne décide de commuer la peine à quatre ans de prison ferme.
Selon le journal régional français "Var-matin", qui cite des sources concordantes, cela fait un mois que l'avocat de l’ancien détenu, Me Frank Berton, a finalement obtenu devant une juridiction parisienne que son client bénéficie d'un placement sous bracelet électronique. Une décision mise en application jeudi.
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Citant toujours l'avocat, "Var-Matin" observe que le procès en appel au Maroc de ce trentenaire, qui était "accusé d'avoir donné 70 euros à un colocataire" (soupçonné de lien avec un réseau terroriste, Ndlr), a été "très long".
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Condamné à six ans de prison en première instance, puis à quatre années en appel en mars 2017, "on a choisi de ne pas aller en cassation", affirme l'avocat, qui comptait "sur un rapatriement rapide de Thomas Gallay pour qu'il purge sa peine dans une prison française, conformément aux accords entre Rabat et Paris".
