Le cannabis, cette plante...bénite

Cannabis à usage médical. (Photo d'illustration)

Cannabis à usage médical. (Photo d'illustration) . DR

Revue de presseKiosque360. La légalisation du cannabis ne concerne pas la consommation, mais fixe le cadre légal de la culture de cette plante à des fins thérapeutiques, pharmaceutiques et industrielles. Eclairage.

Le 26/02/2021 à 17h49

La culture du cannabis est en voie de légalisation. Désormais, les opportunités de cultiver cette plante dans la région seront cadrées par la loi. «Il s’agit de restructurer, de manière progressive et contrôlée, une activité illicite et qui a, pendant longtemps, porté ombrage à l’image du Maroc dans le monde», écrit le quotidien L’Economiste dans son édition du week-end.

Cette législation en cours, souligne l’éditorialiste du quotidien, ne concerne pas la consommation, mais fixe le cadre légal de la culture de cette plante dans la région à des fins thérapeutiques, pharmaceutiques et industrielles. Et en parallèle, l’initiative législative mettra un terme aux ravages provoqués dans la société.

En fait, la légalisation de la culture du cannabis, à des fins notamment thérapeutiques, renforcera la lutte contre la problématique de la drogue. En mettant en place ce cadre législatif, poursuit le quotidien, la région sera dotée d’une infrastructure et d’une architecture afin de développer «une véritable filière agricole et industrielle». «Avec à la clé de nombreux emplois pour une région qui fait vivre des milliers de familles», fait remarquer le quotidien.

L’initiative du gouvernement, qui a fait preuve de pragmatisme, assurera au Maroc des parts de marché importantes au niveau du «marché mondial du cannabis médicinal qui enregistre une croissance inouïe avec une moyenne de 60% en Europe». C’est «une véritable fenêtre de tir qui s’ouvre pour le Maroc qui doit saisir les opportunités économiques et se positionner».

Et en plus de la création d’emplois dans la région, l’initiative législative gouvernementale se traduira par «l’amélioration des revenus des agriculteurs qui seront immunisés contre les réseaux de trafic international de drogue». Et l’éditorialiste du quotidien de conclure que «ce serait pour eux et pour tout le pays… une plante bénite».

Par Mohamed Younsi
Le 26/02/2021 à 17h49

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e gouvernement du Québec a encaissé grâce au cannabis 103 millions de dollars en 18 mois, soit 38,2 millions en TVQ, 43,4 millions en taxe d’accise et 21,4 millions en profits nets de la SQDC (la SQDC avait généré une légère perte à sa première année de fonctionnement). Les données au-delà du 28 mars 2020 ne sont pas encore disponibles. À titre de comparaison, les revenus totaux du Québec en 2019-2020 devaient atteindre 116 000 millions. Le Québec a reversé 20 millions de dollars aux municipalités pour les aider à faire face à une hausse des dépenses engendrées par la légalisation. source ....un article interessant https://www.ledevoir.com/societe/consommation/587979/cannabis-deux-ans-plus-tard-une-legalisation-payante

Avec cette nouvelle législation 100% conforme à la législation ONUSIENNE, notre Pays entre dans l'ère de la modernité internationale, ce qui va profiter à nos agriculteurs, à nos chercheurs, à nos exportations, à nos artisans, à nos entreprises du BTP etc..la liste des avantages est trop longue et, cela tout en tuant les réseaux du trafic international.BRAVO à NOTRE PAYS..Maintenant que notre pays a pris cette décision souveraine, le Régime illégitime Dz va être obligé de suivre et donc dévoiler au Monde les immenses champs de cannabis tenus par des gradés algériens sans parler des plants de PAVOT dans l'ADRAR et des usines de KARKOUBI..Dans ce domaine du trafic DES DROGUES, comme celui pour la prostitution, le Monde va réaliser que l'Algérie dépasse de très loin le Maroc.

Le cannabis brûle moins que le tabac et produit davantage de gaz carbonique. Fumer un joint équivaut à fumer entre 2,5 et 5 cigarettes de suite. Le risque de cancer pour un fumeur du cannabis serait environ 20 fois plus élevé que pour un fumeur de tabac.

100% FAUX.

Priorité urgente : régler le problème des petits producteurs ayant fait l'objet d'avis de recherche qui vivent dans la clandestinité. Les grands producteurs aussi, ce sont de grands investisseurs potentiels.Il y'a un retard à rattraper.

Il faut inclure la filière "kif" dans le plan Maroc vert. Il faut enregistrer les variétés locales riches en matière active. Pour la culture intensive, faire appel à l'expérience canadienne et américaine. C'est une mine renouvelable. Mettre à contribution nos agro-économistes.

Il faut investir les 100 milliards de dirhams de revenus dans l'éducation et la santé. Le Maroc peut avoir des opportunités gigantesques notamment l'exportation de médicaments, de cosmétiques, de produits industriels.... Il faut absolument que cet argent soit investi au Maroc et non blanchit dans l'immobilier sur la Costa del sol...... L'argent du cannabis doit profiter exclusivement au Maroc et à personne d'autre. Et arrêtons de donner des carte ramed aux subsahariens qui vont créer une guerre civile et raciale au Maroc, et pendant ce temps on laisse nos propres compatriotes mourir dans les campagnes fautes de soins.... Les subsahariens vont rendre la vie des marocains infernale comme à Paris... Ils doivent aller en France qui prend leurs richesses minières, 50 % des réserves..

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