Le tortionnaire Brahim Ghali obligé de «se terrer chez sa marraine l’Algérie»

Brahim Ghali, chef du Polisario.

Brahim Ghali, chef du Polisario. . DR

L’étau se resserre autour du "tortionnaire" du Polisario Brahim Ghali, l’homme le plus recherché d’Espagne, écrit le site d’information algérien "Tamurt info".

Le 09/12/2016 à 19h24

"Aujourd’hui, l’étau se resserre autour de ce tortionnaire du Polisario et de l’armée algérienne" suite à la récente diffusion de sa fiche signalétique, à tous les postes-frontières espagnols, suite à sa non-présentation devant le juge d’instruction" pour répondre des chefs d’accusation pesant contre lui, indique le journal électronique algérien Tamurt info.

La même source fait savoir qu’un mandat d’arrêt international devrait être bientôt émis à son encontre par la justice espagnole, "l’obligeant à se terrer chez sa marraine, l’Algérie".

"Un sinistre individu" vient d’être rattrapé par ses activités sanguinaires passées, à savoir terrorisme, génocide, crimes, séquestrations, enlèvements et tortures, suite à une plainte déposée par l’Association sahraouie pour la défense des droits de l’Homme (ASADEH). Plainte déposée contre lui et 28 autres personnes -dont des officiers algériens-, pour des faits perpétrés entre 1974 et 1988 dans les camps de Tindouf, rappelle la même source.

"Les prouesses criminelles de ce triste individu ne s’arrêtent pas là", relève le site d'information qui fait état d'attaques contre des bateaux de pêche espagnols ou des civils canariens, ayant causé de nombreuses morts.

Par Khalil Ibrahimi
Le 09/12/2016 à 19h24