Intelligence avec une puissance étrangère: Ali Amar enfonce Omar Radi

Photomontage des portraits de Ali Amar et de Omar Radi.

Photomontage des portraits de Ali Amar et de Omar Radi. . DR

Ali Amar, directeur de la publication du site d’information Le Desk, est mobilisé pour défendre son salarié et collègue Omar Radi. Mais dans sa plaidoirie, il distille des éléments à charge contre son employé. Involontairement?

Le 18/07/2020 à 18h55

Dans un article publié le 15 juillet sur le site Le Desk, sous le titre «Omar Radi, espion du MI6: révélations sur une cabale insensée», le directeur de cette publication, Ali Amar, s’est référé avec ironie à un article de Le360 qui révélait, sans le nommer, l’identité d’un agent du MI6 qui a été en liaison avec le journaliste et activiste Omar Radi, soupçonné d’espionnage pour le compte d’une puissance étrangère. Il convient de rappeler que Omar Radi est présumé innocent, qu’il ne fait pas l’objet d’une poursuite judiciaire, et qu’il est entendu régulièrement par la BNPJ dans une enquête relative à la perception de financements en relation avec des services de renseignements étrangers.

Ali Amar explique dans cet article que l’officier britannique Clive DareNewell (c’est le nom de l’agent du MI6), qui occupe actuellement le poste de directeur de la zone MENA au sein de la société «G3 Good Gouvernance Group», a toujours affiché ouvertement son identité d’espion. Il écrit: «son CV affiché autant sur le site internet de G3 que sur son profil LinkedIn montre qu’il a travaillé durant 35 ans pour le UK Foreign Service, comprendre le fameux SIS, le Secret Intelligence Service, ou le service de renseignements extérieurs du Royaume-Uni, également connu sous la dénomination de MI6».

Autrement dit, si l’on se fie au raisonnement du patron du Desk, les autorités marocaines n’auraient fait qu’enfoncer…une porte ouverte en accusant Omar Radi d’espionnage au profit d’un agent de renseignement britannique.

Clive DareNewell fait effectivement référence sur son profil LinkedIn et sur le site de «G3 Good Gouvernance Group» à ses 35 ans d’expérience au sein des Affaires étrangères britanniques (UK Foreign Service). Mais est-ce une raison pour établir une équivalence entre ce département et le MI6?

Le MI6 a un site internet (https://www.sis.gov.uk) qui présente ce service de renseignement, ainsi que ses activités. Dans cette présentation, le MI6 affirme travailler sous l’autorité de «ministres seniors». Un site gouvernemental du Royaume-Uni définit ce que le MI6 appelle «ministres seniors». Dans la liste de ces hauts ministres qui ont autorité sur le MI6, on ne retrouve aucun lien de subordination avec le foreign office. La déduction du Desk est donc farfelue.

Plus loin, oubliant peut-être que Omar Radi travaille chez lui, Ali Amar fanfaronne que «Le Desk a eu accès à la documentation sur laquelle se fonde l’enquête du parquet». Deux documents relatifs à la relation de Omar Radi avec Clive DareNewell sont reproduits dans Le Desk. Le premier est un extrait de l’agrément qui lie les deux parties. Le deuxième est un e-mail, surprenant, que Ali Amar ne cite pas dans son article, dont il ne mentionne aucun extrait, et qui dément pourtant la banalité de la relation qu’il s’évertue à prouver entre Omar Radi et Clive DareNewell.

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Dans ce courriel, Clive DareNewell écrit à Omar Radi qu’il ne «l’a pas sollicité pour recueillir des informations open source (source ouverte), en précisant qu’il est parfaitement en mesure d’accomplir seul cette tâche». L’expéditeur précise davantage son propos en le soulignant pour en montrer le caractère focal: «je veux savoir dans quelle mesure vous pouvez collecter des informations auprès de sources humaines». Quand c’est un officier, qui a fait toute sa carrière dans le renseignement, qui formule une requête de cette façon, cela s’apparente fortement à un travail de renseignement.

Conférence de presse de Omar Radi le 15 juillet 2020.

Dans la conférence de presse qu’il a organisée, le 15 juillet, au siège du syndicat de la presse nationale, Omar Radi a fait un lapsus qu’il a tenté de rattraper. Il a dit qu’il était utilisé à la fois par Amnesty International (AI) et par les autorités marocaines dans le bras de fer qui les oppose, avant de se rétracter et de laver AI de toute instrumentalisation. Dans cette même conférence de presse, Omar Radi affirme qu’il a collaboré avec «l’officier» (c’est ainsi qu’il l’a désigné) Clive DareNewell, mais que ce dernier ne travaille plus pour MI6 depuis 2011, date à laquelle il a pris sa retraite.

«Depuis quand un officier des renseignements est mis à la retraite?», s’interroge une source bien informée sur les rouages de ce métier. «Un officier de renseignement peut prendre sa retraite sur le papier, mais plus il a acquis d’expérience et maîtrisé de dossiers, plus il sera sollicité chaque fois qu’une question converge avec un domaine où il a acquis de l’expertise», précise notre source. Et de conclure: «un agent de renseignement ne se déconnecte jamais de sa maison, y compris après sa retraite».

Ali Amar évoque dans un «disclaimer» (déni de responsabilité) à la fin de son article, la collaboration entre Omar Radi et un autre cabinet de consulting, à savoir «K2 Intelligence», dans le cadre d’une «recherche à propos d’une filiale agro-industrielle du groupe Palmeraie». En déniant toute responsabilité sur la collusion entre Omar Radi et «K2 Intelligence», Ali Amar attire paradoxalement l’attention sur ce cabinet de consulting.

Dans un article publié par le mensuel français Le Monde Diplomatique du 15 juillet 2014, le journaliste Nizar Manek a pu recueillir de précieuses informations auprès de Mungo Soggot, présenté comme un ancien journaliste et ex-employé au sein de la firme «K2 Intelligence», en affirmant que le management de cette société ordonne à ses employés d’utiliser leur statut de journaliste ou de prétendre en être un, pour obtenir des renseignements ou gagner la confiance d’une source.

Autre fait à retenir dans cet article: «tous les collaborateurs sollicités par K2 Intelligence, optent pour des modes de paiement rapides, notamment, via les agences de transfert d’argent, telles que “Western Union“ ou “Moneygram“, au lieu de virements bancaires». Une manière d’éviter de laisser une trace de paiement entre la société et les personnes auxquelles elle recourt. Que sait le patron du Desk sur les liens de cette société avec Omar Radi pour ne pas vouloir engager sa responsabilité?

Dans ce même «disclaimer», Ali Amar cite Bertha Foundation en ces termes: «quant aux fonds reçus partiellement de la part de Bertha Foundation, il s’agit d’une bourse de recherche sur la spoliation des terres paysannes au Maroc dont le rendu académique destiné à cette fondation, devait faire aussi l’objet d’articles à paraître dans les colonnes du Desk».

Dans un deuxième article, publié le 17 juillet, le Desk cite abondamment la Bertha Foundation, dont 29 lauréats ont écrit une lettre de soutien à Omar Radi. Ces journalistes ont tous bénéficié d’une bourse de cette fondation, au même titre que la personne à qui elles marquent leur solidarité: Omar Radi. Montant de cette bourse: entre 60.000 et 70.000 euros.

Le Sud-africain Tony Tabatznik, qui a fondé Bertha Foundation en 2009, a fait de l’activisme le mode opératoire préféré de son action. D’ailleurs, cette fondation forme les séparatistes sahraouis aux actions de guérilla, en utilisant l’image comme moyen le plus efficace pour porter leur message. C’est ainsi que Bertha Foundation finance «Witness and FiSahara», une plateforme qui entraine des Sahraouis à manifester et provoquer les forces de l’ordre, en vue de réaliser des vidéos avec smartphones. Ces images de la provocation des forces de l’ordre sont exploitées, via de tendancieux montages, pour être transformées en «répression des femmes et enfants sahraouis par les autorités marocaines» et diffusées sur Internet.

Omar Radi interviewé en février 2020 sur Démocraty Now par Amy Goodman.

En février 2020, Omar Radi a accordé depuis Londres une interview filmée à l’émission Democracy Now, qui diffuse ses contenus depuis son siège à New York. Omar Radi a été interviewé par la fondatrice et journaliste vedette de cette émission, Amy Goodman, bien connue par ses positions hostiles à l’intégrité territoriale. Elle a réalisé en 2018 un documentaire sur le Sahara occidental au titre sans équivoque: «La dernière colonie».

Durant cette interview avec Amy Goodman, Omar Radi a entendu neuf fois l’expression «le Maroc occupe le Sahara occidental» et une fois l’expression «le Sahara occidental est la dernière colonie en Afrique» sans réagir, donnant ainsi le sentiment qu’il adhérait sans réserves aux propos de son interviewer.Toutes les images du Sahara marocain qui ont été diffusées durant l’interview de Omar Radi avec Amy Goodman proviennent de «Witness and FiSahara»… également partenaire de Bertha Foundation.

Sur la page d’accueil du site de Bertha Foundation, le film institutionnel qui présente cette fondation, ainsi que ses activités, mentionne DemocratyNow comme un partenaire de choix. Le logo de Democraty Now apparait plein écran (4:08 mn) de même que le portrait de la journaliste Amy Goodman (4:11 mn).

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Omar Radi, boursier de la Bertha Foundation, était donc interviewé par Amy Goodman, bien connue pour son hostilité à l’intégrité territoriale et partenaire de Bertha Foundation, pendant une émission où ont été diffusées des images de «Witness and FiSahara», une plateforme des séparatistes sahraouis, également financée par Bertha Foundation.

Il est permis de penser qu’il s’agit d’une coïncidence. Merci Ali Amar.

Par Tarik Qattab
Le 18/07/2020 à 18h55

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fixez bien la photo , ça prouve que c'est un drogué, il est mal éduqué très mal éduqué le superlatif il est juste , une cigarette à la bouche pendant une conversation avec les gens , c'est impoli, c'est la racaille

bonjour c'est le Ministre Ramide qui joue double jeu , c'est lui le danger depuis longtemps avec les ONG internationale des droits de l'homme , c'est lui qui joue dans l'eau trouble : un pied dedans, et l'autre dedans comme d'ab

A première vue, cette histoire pourrait paraître kafkaïenne. Mais à y voir de près, il s’agirait tout simplement d’un stupide fauteur de troubles à qui on a fait croire, de manière astucieuse, qu’il avait un «don» monnayable en fouillant dans des affaires qui le dépassaient. Au fond, Omar Radi a plus le profile du genre qui, après quelques bons joints ou verres, se prend pour le «Super-Hero» des «Underdogs». Le zélé typique qui croit véritablement pouvoir changer le monde à partir du sous-sol de la maison parentale. Quant au volet AI de l’histoire, Radi est visiblement un «idiot utile» dont on s’est servi pour tenter de compromettre l’Etat marocain. Le vrai enjeu est ailleurs, et Radi n’est clairement qu’un apprenti-mercenaire. Sa loyauté changeante le rend indéfendable par le public!

Pour résumé ton commentaire, ce journaliste est à l'image du régime algérien à savoir un énorme tonneau creux monté sur des pattes de cigogne.

Nous attendons de nos autorités de mener leur enquête jusqu'au bout, et d'intercepter et juger tous les traitres de la nation.

Ce pauvre journaliste est soit il est naïf soit il est impliqué jusqu'au cou dans l'intelligence avec des services étrangers. Les informations collectées à date renforcement la 2eme hypothèse.

En vérité, ce Omar RADI ne travaillait pas pour informer ou éveiller ses compatriotes sur des dysfonctionnements ou abus administratifs ou autres au Maroc mais bien pour constituer des dossiers à charge contre l’État Marocain dans le but non avoué de servir les intérêts des ennemis de notre intégrité territoriale qui le soudoyaient en lui offrant des PRIX BIDON ( COMME EN ALGERIE) ou des BOURSES SUSPECTES ( COMME EN AFRIQUE DU SUD)...Merci au 360 ma pour cet excellent article très bien documenté... Tous les médias marocains qui ont un jour cet énergumène soutenu par naïveté vont désormais comprendre que leur prétendu professionnalisme ou impartialité journalistique n'était que de la MRD et, que sans s'en rendre compte, ils ont été complices de sa trahison...Ces médias se reconnaîtront

Les Marocains sont trop indulgents. D'autres pays auraient déjà sévèrement sévi.

Dans la RIPOUBLIQUE ALGÉRIENNE ( qui soutenait en sous main ce Omar RADI), pour énormément moins que ça, de simples blogueurs ou lanceurs d'alerte ont été enlevés par la Police politique et jetés comme des sacs poubelles dans des geôles puantes, certaines datant de l'époque ottomane, où le covid19 fait des ravages parmi les prisonniers. Après la décennie noire, voilà que ce régime des harkis de 62 se sert du covid19 pour éliminer les algériens.

Ils sont prêts à vendre leurs propres mères rien qu'en échange de pognon ! Quelle bassesse, quelle traitrise ! Tout ce ramassis de IKHAN hachakoum sont tous connus pour être des trafiquants et de grands consommateurs de hashich. Que nos autorités fassent leur boulot !

Qu'un journaliste Marocain informe ses compatriotes sur des affaires suspectes, rien de plus normal et patriotique..Or dans cette affaire, c'est bien pire... Lorsque certains Journaux du Pays avaient soutenu ce Omar RADI lorsqu'il avait OUTRAGE UN JUGE, chose qui est légalement punie même dans des pays réputés démocratiques, j'avais laissé un commentaire pour dénoncer ces journaux que je ne citerai mais que tout le monde peut trouver avec Google. MAIS maintenant qu'on sait que ce Omar RADI est un allié de Médias Ennemis à la solde de Pays Ennemis qui se servent de lui pour défendre le POLISARIO ALGERIEN , il est clair que c'est un VENDU. Ses liens avec l'Espion GB en retraite sont rien par rapport à sa trahison contre notre Cause Nationale pour laquelle des Marocains ont donné leur vie.

Quelle coïncidence, une bourse offerte par une fondation Sud Africaine à un journaliste marocain pour sa collaboration parfaite avec les ennemis du Maroc.Quelle bassesse ! Ces types de personnes se vendent facilement comme des petits pains au chocolat. Toute personne qui collabore avec des services de renseignements étrangers ne peut être qualifié que de corrompu ou de traître.

Ce cas de figure est très inquiétant : 1. ce monsieur prétend être en capacité de conduire des due dil sur des entreprises en vue d'une opération d'acquisition. Il me semble nécessaire de commencer à réguler cette activité en délivrant un label sans ça c'est tout le secteur financier marocain qui est discrédité . 2. avec autant d'éléments, la justice doit faire preuve de fermeté. le statut de journaliste ne place pas ce métier si noble au dessus des lois. Il est donc impératif de mieux sélectionner les candidats à ce métier pour mieux cerner leur motivation . 3. il est triste de constater que les corporations au Maroc se transforment en nid d'hors-la-lois dont font les frais la majorité silencieuse qui aspire à un avenir meilleur dans un cadre institutionnel respectueux des droits.

Ils doivent être vraiment potes pour s'échanger des mails.. mais entre 7chaychi, espions et vauriens on se sert les coudes. Que Ali Amar pense à ravitailler ses marmites en cacahuètes, le bout du tunnel est encore loin.

Merci infiniment le360.Dévoilé les corrompus qui n'ont ni sens de vivre honnêtement ni dignité. Ils cherchent activement à donner de faux informations sur leur pays,collaborer avec les organisations et Etats etrangers contre les intérêts legitimes du Maroc.C'est la bassesse totale.

Je n'avais pas de position jusque-là sur l'affaire Omar Radi que j'ai soutenu quand il a été emprisonné, mais en prenant connaissance de son itw avec Democracy Now, je dois admettre que je tombe des nues. Radi est donc payé par un Sud Africain pour laisser croire que des voix à l'intérieur du Maroc sont opposées à la marocanité du Sahara. Un vendu, c'est tout ce que tu es Omar Radi!

On comprend mieux beaucoup de choses à présent. Si il y a intelligence avec des puissances étrangères dans le but de nuire injustement au Royaume et que cela est étayé avec des preuves, alors il mérite un jugement d'une dureté exemplaire !!

ce Monsieur ,pseudo journaliste est un traitre avéré :il écrit des rapports secrets pour des puissances étrangères en contre partie , il reçoit des sommes d'argent . C'est assez plausible , on appelle cette procédure de l’espionnage. Et en outre , il se permet d'insulter , les enquêteurs. Les autorités Marocaines , il faut qu'elles se réveillent le plus rapidement possible, afin de de juger ces traitres . Ce journaliste , a vendu son âme et son pays , pour du fric. Heureusement pour lui , il n'est ni russe ni chinois .

Parlons franchement ! En laissant en place le calamiteux ministre RAMID du PJD, le GVT donne à nos ennemis le bâton pour nous faire battre alors que dans cette affaire contre A.I le Maroc a raison. D'ailleurs, Omar RADI ne s'est pas gêné, par diversion, de parler des 2 ministres véreux du PJD dans la vidéo de sa conférence postée dans cet article du 360 afin de compromettre l’État Marocain tout entier. Il faut espérer depuis l'affaire scabreuse des Bus Turcs achetés par des élus PJD au détriment de Bus 100% Marocains et l'affaire de l'ALE déséquilibré entre la Turquie et le Maroc, les électeurs Marocains vont enfin comprendre que ce Parti ne sert pas les intérêts des citoyens et qu’ils vont l’éliminer pour longtemps par les urnes de la scène politique.

+10 voilà des analyses rationnelles Ramide il joue l'agent double , Ramide il joue double jeu (il est l'ami et le coopérateur de Amnistie Internationale (souvenez vous un peu quelque ans en arrière et dans un passé pas si loin ) et le voilà il fait le doux , parce que son image est ternie par le non respect du droit du travail de son ex employé

Le deroulement des événements montrent à quel point ce vendu est capable de vendre son âme au diable. Il doit avoir ce qu' il mérite sans se soucier s'il est ""radi""" ou non

Cette accusation est grave mais n'étant pas au fait des pièces du dossier, n'étant ni juge ni avocat,je me retiendrai de l'accuser et insulter ne fait pas partie de mon éducation. Il serait utile de connaître les vrais dessous de sa relation avec cet Espion Britannique dont le CV est connu et qui possédait avant sa retraite des fonds de l’État britannique pour infiltrer le Pays. Peut -être que Omar RADI qui est un simple journaliste lui servait-il à son insu d'informateur ?.En revanche, j'apprends grâce à cet article que ce Omar RADI fricotait avec des médias et lobbys à la solde du Régime harki et toxique algérien dont l'hostilité maladive contre le Maroc ne fait pas une once de doutes. Je comprends maintenant pourquoi il a été invité par une Web Radio Dz ennemie du Maroc

Ali Amar il a la tête d'un mec qui consomme 9ar9oubi, et Omar Radi un grand fumeur de shit. Je vous le signe maintenant.

les traitres n'ont pas dy rester au Maroc , ils sont sales d'esprit et du corps

Au Maroc, il y a toujours eu depuis la fin du Protectorat français en 1956, une poignée de Gauchistes Idéalistes qui, s'en rendre compte, faisaient le Jeu de Puissances ou Pays Ennemis qui les manipulaient. Omar RADI appartient à cette frange, heureusement très minoritaire au Maroc et donc politiquement insignifiant.

les Marocains ils doivent réagir face a ce traitre ce vendu , les Marocains ils doivent agir , et nettoyer le Maroc de ce genre de traitrise ,

l'administration marocaine chargée de défendre les intérêts du Maroc , surtout son intégrité territorial , elle s'attarde plus sur des brebis, malades , surtout les faibles et sans défense , que de s'attarder sur les loups , sur les traitres comme Omar Radi pour les mettre hors état de nuire la peur de AI (amnistie internationale )

Ces traitres pensent qu'ils ne seront jamais demasqués. Qu'ils aillent au diable. Lorqu'on s'allie avec le diable la prison est là pour s'allier avec. Un traître sa place est en prison.

Bonjour, Dans un monde USA, Russie, Britannique, Français, ... ces individus seraient jugés pour trahison

Très grave ce que vient de révéler le360 ,non seulement l'énergumène Omar RADI est un espion du MI6 au prfit d'entreprises à qui il file des renseignements qui peuvent être fatals pour d'autres ( espionnage économique) une activité qui est punie par la loi , il est aussi un collabo(traître) des officines et ennemies de l'intégrité territoriale de notre pays qui sont financées par le régime harki des caporaux mafieux et sanguinaires. La justice doit enquêter sur la provenance des sommes d'argent que reçoit le traître RADI de l'étranger. Son incarcération est amplement justifiée, qu'attendent les autorités compétentes ????

Beaucoup de Marocains ne savaient pas que ce journaliste fréquentait des ennemis de l'intégralité territoriale du Maroc et, maintenant, ils vont tous enfin comprendre pourquoi il a été invité par un média algérien disponible sur YouTube dirigé par un certain Kadi IHSSEN ( dont les positions pro milices algéro-polisariennes sont connues ) qui se vante d'avoir eu un père révolutionnaire mais en omettant bien de dire, qu' au cours des 432 ans de colonisation turco-française, ses ancêtres collabos se comptaient par centaines ou milliers. Dans la Ripoublique des Harkis de 62, tout le monde s'invente des parents Moudjahid alors que dans les faits, ils ont été très peu nombreux à prendre les armes, sans parler de ceux planqués aux frontières qui n'ont pas tiré une seule balle de leur vie.

Les choses s eclaircissent qu il n y a pas de fumée sans feu.

Relations douteuses, collaboration avec des pays hostiles à la cause nationale, sources financières étrangères, des rapports non publiés adressés à des corps extérieurs, liaisons avec un agent présent antérieurement dans toutes les zones MENA de conflits et de déstabilisation. W mazal Dawi, wa baaaz

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