Prise à la gorge, l’Algérie veut privatiser ses banques
Un déficit budgétaire de 20,5% du PIB en 2016 oblige l'Algérie à envisager la privatisation des banques publiques. C'est ce qui se cache derrière la réforme de la loi 51/49%. Les investisseurs exigent de détenir au moins la majorité du capital. Cela permettra aussi de dynamiser la bourse d'Alger.