Le journaliste Ariel Wizman publie un beau-livre sur le Maroc, son pays natal

Ariel Wizman, journaliste, DJ et entrepreneur, publie «Maroc, Terre de lumière» aux éditions Assouline.

C’est un très bel ouvrage que celui que consacre au Maroc, son pays natal, Ariel Wizman, chroniqueur star du groupe Canal+ dans les années 2000. Au gré de ce voyage onirique auquel nous convie le comédien, DJ et entrepreneur, sa terre natale se dévoile, entre photographies aux couleurs intenses et citations de célèbres écrivains.

Le 13/03/2024 à 10h26

«Maroc, Terre de lumière» est un poème d’amour que dédie Ariel Wizman, natif de Casablanca, à son pays d’origine. Publié aux éditions Assouline, ce beau-livre transporte le lecteur dans un voyage onirique à travers le pays qui a vu naître le journaliste en 1962.

Dans un article paru dans le magazine Numéro, il explique: «Ce que j’aime dans le Maroc, c’est la manière dont le pays se donne.» Et de poursuivre: «C’est un endroit qui a un cachet particulier, à la fois grâce au mélange des cultures, mais parce qu’il est aussi vraiment unique en son genre.»

Quand il s’agit de parler du Maroc, Ariel Wizman ne tarit pas d’éloges. «Le Maroc a un côté miraculeux qui tombe pile entre l’Orient et l’Occident», écrit-il. Cet amour transparait au gré des pages de cet ouvrage, des visages qui s’y dévoilent, de la nature d’une beauté à couper le souffle jusqu’à l’architecture à nulle autre pareille.

Les photographies qui peuplent ce beau-livre racontent le Maroc de l’auteur. Celui de paysages désertiques, de souks animés, de lieux de pèlerinage où le silence est de mise, celui qui a tant fasciné de grands noms des arts, de la mode et de la culture, tels que Romain Gary ou Yves Saint Laurent.

«Il y a une partie des images qui sont issues d’archives. J’ai rejoint une équipe de photographes ensuite, puis nous avons voyagé ensemble pendant 10 jours dans le sud du Maroc. Nous avons traversé huit villes, en nous arrêtant presque partout. C’étaient des moments géniaux… Nous avons perçu l’essence d’un Maroc qu’on n’avait pas l’habitude de voir, à travers des rencontres et des lieux», ajoute Ariel Wizman au sujet de la méthodologie adoptée pour la réalisation de cet ouvrage.

Par Zineb Ibnouzahir
Le 13/03/2024 à 10h26