Tous les articles correspondant à #SIEL

Rabat vient d’être désignée Capitale mondiale du livre 2026 par l’Unesco. L’institution onusienne considère qu’avec 54 maisons d’édition, le troisième plus grand salon international du livre et de l’édition en Afrique et un nombre croissant de librairies, l’industrie du livre à Rabat est non seulement un pilier de l’économie créative de la ville, mais aussi un puissant moteur de démocratisation du savoir.

Le bilan du SIEL 2024, qui a pris fin le 19 mai dernier à Rabat, marque le succès de cette nouvelle édition en termes de visiteurs, de livres vendus ou de chiffres d’affaires générés par les éditeurs. Une revue de presse d’Al Ahdath Al Maghribia.

L’écrivain saoudien Osamah Almuslim a attiré plus de 7.000 personnes durant sa rencontre littéraire, le 11 mai, dans les travées du Salon international de l’édition et du livre de Rabat. Le public, principalement jeune, était tellement nombreux que les organisateurs ont dû suspendre l’évènement. Voilà qui en dit beaucoup sur le succès de celui qu’on surnomme le «J.K. Rowling du monde arabe».

Il serait urgent d’interdire l’exhibition de bébés pour mendier. Parfois, ce sont des enfants de quelques mois, exposés à la pollution des tuyaux d’échappement et qui respirent un air dangereux. La chasse à cette pratique devrait être radicale.

L’édition 2024 du Salon international de l’édition et du livre a pris fin hier dimanche 19 mai, après 10 jours intenses. Ce cru a connu une affluence dépassant les 316.000 visiteurs. Une augmentation de plus de 32% par rapport à l’édition précédente.

Le rôle des syndicats dans le dialogue participatif et la conclusion de l’accord social du 29 avril 2024 a été au centre d’une conférence débat, ce samedi 18 mai, à laquelle a participé Younes Sekkouri, ministre de l’Inclusion économique, de la Petite entreprise, de l’Emploi et des compétences, dans le cadre du Salon international de l’édition et du livre (SIEL) à Rabat.

Osama Almuslim n’a donc pas attendu que je vienne à lui, c’est lui qui est venu à moi. Et à nous. Nous ne parlons pas d’un écrivain à succès, mais d’un phénomène de société.

Le Conseil national des droits de l’Homme (CNDH) et la Direction générale de la sûreté nationale (DGSN) ont exposé le partenariat qui les lie en matière de formation et de respect des droits humains dans l’exercice de la fonction policière.