Comme on pouvait s’y attendre, la gestion de la présidentielle anticipée du 7 septembre en Algérie a tourné à la catastrophe, exposant une nouvelle fois les dirigeants de ce pays à la risée du monde entier. En effet, les résultats du scrutin, massivement boycotté, ont été tellement gonflés et tripatouillés que le fraudeur, pris la main dans le sac, a été contraint de dénoncer celui qu’il avait chargé de simuler la surveillance des urnes. Les explications.