Pour l’économiste Abdelghani Youmni, le projet de Loi de Finances 2026 constitue un progrès mais reste incomplet. Derrière les efforts consentis en matière de santé, d’éducation et de justice sociale, il manque, selon lui, une vision plus audacieuse du capital humain et de la réforme fiscale. L’édification d’un véritable État social passe, insiste-t-il, par une refonte du système éducatif, l’intégration de l’économie informelle et une équité fiscale capable de financer durablement la cohésion nationale. Cet article est une revue de presse tirée de Challenge.