Les autorités algériennes ont délivré, en catimini, des licences d’importation de nombreux produits, attestant ainsi de l’échec de la «politique économique» adoptée par le régime, synonyme de privations de la population algérienne avec à la clé des pénuries et des hausses des prix. Toutefois, si ces deux facteurs sont avancés pour justifier cette décision de reprise des importations, un autre facteur pourrait avoir beaucoup pesé sur la balance.