Malgré l’essor des paiements digitaux, le cash continue de dominer l’économie marocaine. Après un ralentissement conjoncturel en 2024, lié notamment à l’amnistie fiscale, la circulation fiduciaire repart fortement à la hausse en 2025. Le niveau atteint reste structurellement élevé et traduit la persistance de facteurs profonds, économiques, culturels et institutionnels, qui freinent la transition vers les paiements électroniques.