Tous les articles correspondant à #monnaie

Vins et spiritueux: le Nigeria dévalue sa monnaie, Pernod Ricard trinque
La volatilité monétaire n’épargne pas les grands groupes, à l’image des 103 millions d’euros de pertes de change subies par un géant français des vins et spiritueux entre juillet et septembre 2024.
Flexibilité du dirham: le Maroc envisage de franchir une nouvelle étape en 2026, selon Jouahri
Le Maroc envisage d’assouplir l’arrimage du dirham à l’euro et au dollar en 2026, ouvrant ainsi une nouvelle étape dans la réforme de son régime de change. Cette information a été révélée par le wali de Bank Al-Maghrib, Abdellatif Jouahri, lors d’un entretien avec Bloomberg. Les détails.
Monnaie contrefaite: 6.290 faux billets détectés en 2023, pour une valeur dépassant 800.000 dirhams
Le nombre de faux billets détectés en 2023 s’est établi à 6.290 unités, représentant l’équivalent de 836.650 dirhams, selon Bank Al-Maghrib. Plus de la moitié de ces billets sont de la coupure de 200 dirhams.
Dar Lkabranate. EP-127. Quand le dinar se casse la figure, la junte perd la face
Le pauvre dinar algérien, affaibli, ne semble plus bon qu’à essuyer les larmes (ou peut-être le plancher) des idées croquignolesques de la junte. Et tandis que leur monnaie s’enfonce dans les abysses, les caporaux tentent de remonter la pente avec des solutions qui font plouf. Une dégringolade qui risque de faire tanguer sérieusement le pouvoir.
Taux directeurs: entre inflation et relance économique, le difficile exercice d’équilibriste des Banques centrales africaines
Depuis 2022, c’est la première fois que des Banques centrales africaines baissent leurs taux directeurs dont certains avaient atteint des niveaux records. Après les hausses décidées pour faire face aux pressions inflationnistes avec des résultats divergents selon les pays, l’heure est à la baisse de ces taux pour soutenir la reprise des économies. Tour d’horizon des principales économies du continent.
Ce que l’inexorable chute du dinar dit de l’effondrement de l’économie algérienne
La dépréciation abyssale du dinar algérien face à l’euro est le fruit d’une dévaluation déguisée savamment orchestrée, depuis plus d’une décennie, par le régime d’Alger pour atténuer le déficit budgétaire découlant de la baisse des recettes tirées des exportations d’hydrocarbures. Loin d’avoir eu l’effet escompté, cette chute monétaire a plutôt créé un cercle vicieux qui plombe une économie sclérosée, totalement désindustrialisée, qui ne produit rien. L’effondrement de la monnaie locale inquiète fortement les Algériens de plus en plus enclins à thésauriser en euros. Analyse.
Les grandes économies africaines face au dollar: les monnaies qui s’effritent et celles qui résistent
Entre conjonctures économiques défavorables, facteurs exogènes, injonctions libérales du FMI, et politiques protectionnistes, de nombreuses monnaies des plus grandes économies africaines ont accusé de très fortes dépréciations. Toutefois, d’autres monnaies, et pour diverses raisons, ont affiché de fortes résistances. Certaines se sont même appréciées par rapport au billet vert.
L’œil de Gueddar. Chute inexorable du dinar, cet autre miracle économique de Tebboune
La longue et inexorable chute du dinar algérien
En une décennie, le dinar algérien a vu sa valeur chuter drastiquement face au dirham marocain. En 2014, le dirham valait dix fois plus que le dinar, tandis qu’en 2024, l’écart a doublé. Un signe qui ne trompe pas sur la dégringolade continue de l’économie du pays. Cet article est une revue de presse tirée de Challenge.
Mascarade de la présidentielle algérienne, le jour d’après: la monnaie s’effondre
La poussière du scandale de la présidentielle algérienne et de son lot de fraudes massives et de chiffres cacophoniques n’était pas encore retombée, qu’un nouveau feu se déclare dans le pays du monde à l’envers, cette fois-ci sur le front de l’économie. Le taux de change du dinar algérien sur le marché parallèle, le seul qui vaille, enregistre des records de baisse face à l’euro: depuis le dimanche 15 septembre, 1 euro s’échange contre pas moins de 244,5 dinars. Un nouveau symptôme d’une économie en faillite, d’institutions qui périclitent et de citoyens qui ne font plus confiance à leur monnaie.