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Environ 296.095 entreprises, inscrites au registre fiscal, ne génèrent aucun chiffre d’affaires et n’emploient aucun salarié. Elles ne contribuent ni à la production de richesse ni à la création d’emplois. Cet article est une revue de presse tirée du quotidien L’Economiste.

Le Maroc a réussi à réduire la proportion de l’informel dans l’économie mais son poids relatif dans l’emploi et le PIB reste énorme. Pour y faire face, des solutions sont recommandées par la Banque Mondiale et Bank Al-Maghrib. L’économiste Mohamed Jadri apporte également son analyse.

Le taux des entreprises inactives sans être formellement dissoutes, est exceptionnellement élevé au Maroc, se situant à 7,3%, selon un rapport de la Banque mondiale et l’Observatoire marocain de la TPME. Interrogé par Le360, Badr Zaher El Azrak, professeur en droit des affaires, explique les raisons de l’ampleur prise par ce phénomène et ses conséquences juridiques et économiques, et esquisse des pistes de solution.

La Direction générale des impôts (DGI) informe les contribuables concernés par la mesure relative à la régularisation volontaire de leur situation fiscale, réinstaurée par la Loi de finances 2024, qu’ils ont jusqu’à fin décembre de l’année en cours pour régulariser leur situation.

Le projet de Loi de finances 2025 prévoit un ensemble de mesures fiscales visant à faciliter l’implantation et le développement des activités de la FIFA au Maroc. Objectif: accueillir le siège régional de l’organisation. Une revue de presse de Challenge.

Ce samedi 19 octobre, le gouvernent devrait déposer au Parlement son projet de loi de finances (PLF) au titre de l’année 2025. Le360 a pu consulter un document synthétisant les nouvelles mesures fiscales qu’il comprend. Voici les principales dispositions, notamment celles actant la réforme de l’impôt sur le revenu, qui vont animer les débats parlementaires autour du prochain budget.

Dans un communiqué, la Direction générale des impôts fait savoir que le régime fiscal des sociétés «dormantes», qui permet aux entreprises inactives de régulariser leur situation, est prolongé jusqu’à fin décembre.

Interrogés par Le360, l’expert en transition énergétique Saïd Guemra et le vice-président de la Commission énergie verte et décarbonation de la CGEM, Omar Alaoui M’Hamdi, évoquent les prérequis nécessaires pour réussir la mise en place de la taxe carbone au Maroc, prévue à partir de l’année prochaine. Les détails.