C’est un véritable branle-bas de combat que se sont livrées, dans la nuit de mardi à mercredi derniers, les différentes têtes de l’hydre qui dirigent actuellement l’Algérie, un pays gouverné à hue et à dia. Les Emirats arabes unis ont, malgré eux, servi d’artillerie lourde à cette cacophonie, quand un média privé, très proche de la junte algérienne, a annoncé que l’ambassadeur d’Abu Dhabi à Alger a été déclaré persona non grata et prié de quitter l’Algérie dans un délai de 48 heures.