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Le nouveau projet de loi organique sur les partis politiques mettra un terme définitif aux financements provenant des entreprises privées. Une réforme qui ambitionne de moraliser la vie politique et de renforcer la transparence électorale.

Rita Zniber, PDG de Diana Holding, a démenti les informations relayées par certains médias concernant la gouvernance du groupe. Elle a précisé que la stratégie de l’entreprise repose sur l’institutionnalisation et l’ouverture du capital, excluant toute désignation d’un héritier pour lui succéder.

En rachetant 100% de La Voie Express, Buildings Logistics & Services (BLS) se hisse au rang de premier opérateur logistique intégré du Royaume. Ce rapprochement stratégique doit permettre au groupe de renforcer sa compétitivité, d’accélérer son expansion régionale et de contribuer aux objectifs de la stratégie nationale pour la logistique. Cet article est une revue de presse tirée d’Afrimag.

Au cours de la dernière décennie, les investissements directs des entreprises marocaines à l’étranger ont quasi quadruplé, passant de 7,36 à 27 milliards de dirhams. Ils ont profité à différents pays, notamment la France, la Côte d’Ivoire et les Émirats arabes unis et à divers secteurs, essentiellement l’industrie, les télécommunications et le secteur bancaire.

La réforme du secteur des établissements et entreprises publics avance bien, selon Abdellatif Zaghnoun, directeur général de l’Agence nationale de gestion stratégique des participations de l’État. Les avancées réalisées concernent les différents chantiers «structurants» de la mise en œuvre de cette réforme, a-t-il noté, lors d’une rencontre le 13 mai à Casablanca.

Pour financer leurs grands projets d’infrastructure prévus dans le cadre de l’organisation du Mondial, les établissements et entreprises publics (EEP) devront recourir, entre autres, au secteur bancaire. Un tel recours rendra-t-il difficile l’accès du secteur privé au financement bancaire? L’économiste Zakaria Firano écarte ce risque. Explications.

La divulgation des données salariales issues du piratage de la CNSS, et la détérioration du climat social qui en a résulté, ont mis en lumière un travers du management des entreprises marocaines: le manque de transparence dans la gestion des rémunérations. Ce moment de «choc» devrait être vu comme une opportunité pour les managers de repenser les pratiques salariales, afin d’instaurer, et aussi d’expliquer, le principe d’équité, plutôt que d’égalité.

Les groupes marocains dominent de plus en plus l’économie africaine, avec 54 entreprises figurant parmi les 500 champions du continent en 2025. Leur succès repose sur une stratégie d’expansion diversifiée, notamment dans les secteurs de la banque, des télécommunications et de l’agro-industrie. Cet article est une revue de presse tirée de Challenge.

Au cours de la période 2023/2024, le Maroc comptait plus de 1,13 million d’établissements économiques, employant de manière permanente près de 3,6 millions de personnes, selon un recensement effectué par le HCP. Ce dernier montre également une domination du secteur tertiaire et des établissements de petite taille, ainsi qu’une forte concentration des entreprises dans la région de Casablanca-Settat.