Tous les articles correspondant à #Eau potable

Quelque 15 installations sont déjà réalisées, 6 sont en cours et 13 autres sont programmées. À terme, la capacité du Maroc sera portée à 1,7 milliard de m³ par an en 2030, contre 192 millions actuellement. Cet article est une revue de presse tirée du quotidien L’Economiste.

Les autorités locales de Berrechid et la Société régionale multiservices (SRM) Casablanca-Settat ont inauguré, le lundi 18 novembre, une station de déminéralisation des eaux saumâtres, d’une capacité de 2.600 mètres cubes par jour, un projet d’une grande importance dans le contexte actuel de stress hydrique.

Malgré les intempéries qui ont retardé sa construction, les travaux du barrage Kheng Grou, situé dans la province de Figuig, ont repris de plus belle et le taux d’avancement du projet atteint désormais 45%.

En quatorze mois, l’interconnexion des bassins de Sebou et de Bouregreg a acheminé 484 millions de mètres cubes d’eau au barrage Sidi Mohammed Ben Abdellah.

Dans le cadre de son engagement pour sécuriser l’approvisionnement en eau potable de la région, la Société régionale multiservices (SRM) Casablanca-Settat a inauguré, le mardi 5 novembre, dans la ville de Settat, un projet innovant visant l’exploitation de la nappe phréatique.

L’autoroute hydraulique de l’oued Sebou augmente significativement les réserves du barrage Sidi Mohamed Ben Abdellah (Bouregreg), garantissant ainsi l’approvisionnement en eau potable de Rabat et d’une partie de Casablanca.

Les travaux de construction du barrage Koudiat Borna, à 30 kilomètres au nord de Sidi Kacem, ont atteint un taux de réalisation de 90%. L’ouvrage, d’une capacité de 12 millions de mètres cubes, sera opérationnel avant la fin de cette année. Les détails.

Les travaux de surélévation du barrage Mokhtar Soussi, situé sur l’oued Aouzioua, à environ 100 kilomètres à l’est de Taroudant, se chiffrent désormais à 54%. Le projet, lancé en 2021, sera livré en novembre 2026, soit six mois avant la date initiale.

Des bidons, beaucoup de bidons, des bidons à longueur de journée... la valse des jerricans rythme la vie dans ce quartier de Conakry, la capitale du «château d’eau d’Afrique de l’Ouest», là où naissent les fleuves Sénégal et Niger et là où il pleut plus de 2 mètres par an. Et quand les robinets sont à sec, les habitants creusent de couteux forages avec des risques insoupçonnés.