Un référendum de popularité clôt les journées portes ouvertes de la DGSN

Les journées portes ouvertes de la DGSN de Fès ont été clôturées en consacrant la popularité de plus en plus grandissante de cette institution.

Revue de presseL’affluence record enregistrée lors des quatrièmes portes ouvertes de la DGSN à Fès a consacré la popularité de plus en plus grandissante de cette institution devenue plus communicante et plus ouverte sur son environnement. Cet article est une revue de presse du quotidien Assabah.

Le 21/05/2023 à 20h18

Les journées portes ouvertes de la DGSN de Fès ont été clôturées en consacrant la popularité de plus en plus grandissante de cette institution, qui gagné le défi du professionnalisme égalant ainsi les appareils sécuritaires les plus réputés dans le monde.

Le quotidien Assabah rapporte, dans son édition du lundi 22 mai, qu’un expert en affaires sécuritaires souligne que « l’institution sécuritaire connait de grandes mutations qui ont grandement changé la perception que les Marocains avaient d’elle. Elle a relevé, en peu de temps, de nombreux défis qui ont poussé les Marocains à la parrainer et à louer ses services et le sens de sacrifice de ses éléments. Le thème choisi pour cette édition consacre la continuité dans le renouvellement de ses moyens, ses outils et ses structures tout en adoptant un nouveau concept de l’autorité qui fait de la sûreté nationale une institution citoyenne intégrée dans son environnement».

Et Le même intervenant d’ajouter que «la réussite de cette nouvelle recette sécuritaire » est due aux compétences et à l’efficacité des ressources humaines que compte cet appareil. A cela il faut ajouter, poursuit-il, que la DGSN est devenue l’institution la plus communicante et la plus ouverte sur son environnement.

Selon le même spécialiste, les succès de cette institution ont été réalisées grâce aux opérations de moralisation, de transparence et de tolérance zéro contre la mauvaise gestion et la corruption. «Les éléments de la DGSN ont été toujours en première ligne dans toutes circonstances y compris lors de la pandémie de Covid-19 quand ils ont été les premiers à tester le vaccin. L’appareil sécuritaire a toujours été la première ciblé des ennemis de la nation qui ont tenté vainement de l’affaiblir, de le détourner de ses préoccupations et de disperser ses efforts et ses actions. C’est ce qui s’est produit, malheureusement, en Égypte en 2011 quand les fauteurs de trouble ont choisi le jour anniversaire de la police pour semer le désordre dans le pays», conclut le spécialiste.

Par Hassan Banadad
Le 21/05/2023 à 20h18