Lancement de la 8ème édition du prix «Tamayuz» pour la femme marocaine

La ministre de la Solidarité, de l’insertion sociale et de la famille, Aouatif Hayar, lors du lancement de la 8ème édition du Prix «Tamayuz», le 29 mai 2023 à Salé.

Le 30/05/2023 à 16h15

VidéoAfin de contribuer à l’émancipation de la femme, le ministère de la Solidarité, de l’insertion sociale et de la famille a lancé ce lundi à Salé les préparatifs de la 8ème édition du prix «Tamayuz» pour la femme marocaine.

Le coup d’envoi de ce grand prix a été marqué par l’installation par la ministre Aouatif Hayar du jury, que présidera Saloua Karkri Belkziz. Par la même occasion, un appel à candidatures des projets a été lancé afin de recenser les porteurs de projets et de désigner les trois lauréats vainqueurs de cette 8ème édition qui a pour thème «La technologie, levier d’autonomisation des femmes».

Le premier prix sera doté de 130.000 dirhams, le deuxième de 100.000 dirhams et le troisième de 70.000 dirhams, selon les organisateurs. Les trois prix, qui seront décernés le 10 octobre prochain à l’occasion de la célébration de la Journée nationale de la femme, récompenseront les meilleures contributions au service de «la capacitation de la femme rurale», qu’elles émanent de personnes physiques, d’instances civiles ou d’institutions nationales.

L’évènement a pour objectifs principaux de «reconnaître les efforts de la femme en faveur du développement du Maroc, d’encourager les femmes à persévérer sur la voie de l’excellence et de célébrer des success-stories sur la contribution de la gente féminine au processus de développement socio-économique et politique».

S’exprimant lors du lancement de cette nouvelle édition, la ministre Aawatif Hayar a affirmé que son département aspire à assurer «une synergie entre ses différents programmes, plans et projets et les thématiques du prix Tamayuz», notant que c’est dans cet esprit que la présente édition allie la réalisation d’une approche intégrée en matière d’autonomisation économique des femmes en s’appuyant sur les nouvelles technologies et l’accompagnement de «la femme rurale en tant qu’acteur essentiel du développement durable».

Par Mohamed Chakir Alaoui et Fahd Rajil
Le 30/05/2023 à 16h15

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Voyons donc! Elle est encore à son poste celle-là? Mais qu’attend le chef du gouvernement pour renvoyer la ministre la moins productive et la moins compétente de ce gouvernement? La plus inutile et la moins visible de tous ceux à qui on paie des salaires et des indemnités plus importantes que ceux de ministres dans des pays immensément riches et extrêmement développés? Sans vouloir en nommer d’autres qui se la coulent douce en cachette, parfois même avec leurs époux comme «conseillers» dans un bureau à côté comme elle, ce gouvernement presqu’à mi-mandat a besoin d’un remaniement ministériel pour. So, somebody, please, do something about this minister. Moroccans can’t stand her and she needs to be sent home with her «chief advisor»!

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