Zones de libre-échange au Maghreb et au Sahel: le pipeau de trop du président Tebboune

Le président algérien Abdelmadjid Tebboune.

Le président algérien Abdelmadjid Tebboune.

Visiblement excédé par les projets concrets en cours d’exécution par le Maroc au Sahel et en Afrique de l’Ouest, Abdelmadjid Tebboune annonce des zones de libre-échange avec cinq pays de la région… sans que ceux-ci ne soient mis au courant. Une supercherie de plus pour redorer, un tant soit peu, le blason définitivement terni d’un pays qui, sous Tebboune, se retrouve totalement décrédibilisé sur la scène internationale.

Le 16/02/2024 à 14h46

Quand les dirigeants algériens tombent plus bas que terre, que font-ils? Ils creusent. Évidemment. Leur propre fosse commune. Que dire sinon de la dernière trouvaille du président algérien Abdelmadjid Tebboune qui, paniqué de voir le Maroc se placer confortablement sur la scène sahélienne, a riposté n’importe comment, littéralement. À la hâte, en bricolant sur un coin de table une nouvelle annonce qui vient s’ajouter à la longue liste de promesses non tenues et qui ne le seront jamais, enrobées dans un fatras indéchiffrable de démagogie et d’insipide langue de bois.

L’occasion fait le larron, dit l’adage. Pour Abdelmadjid Tebboune, elle était toute trouvée le mardi 13 février: la 41ème réunion du Comité directeur des chefs d’État et de gouvernement du Nouveau partenariat pour le développement de l’Afrique (NEPAD, censé être le principal cadre de développement du continent). Par visioconférence, le président algérien a annoncé, rien de moins, l’ouverture dare-dare de zones de libre-échange (ZLE) entre l’Algérie et ses pays voisins (à l’exclusion du Maroc, cela va de soi). «J’annonce à mes collègues présidents qu’en 2024, l’Algérie connaîtra la création de zones de libre-échange avec les pays frères, à commencer par la Mauritanie, puis les pays du Sahel, Mali et Niger, en plus de la Tunisie et de la Libye», nous apprend un communiqué de la présidence algérienne. On passera sur la logorrhée qui sert de lit à cette annonce, pour ne garder que l’essentiel. Qui, a priori, sonne plutôt bien bien.

Mais alors, quels préparatifs ont été menés pour pousser Abdelmadjid Tebboune à faire une telle fracassante sortie? Quelles concertations ont été conduites au préalable? Des accords de principe bilatéraux ont-ils été signés? Un soupçon de début de négociations sur les modalités pratiques de ces ZLE a-t-il été engagé? RIEN. Les États concernés sont-ils même au courant de l’existence de cette volonté algérienne? QUE NENNI! De là à adhérer, signer des deux mains et lancer ce vaste espace de commerce intercontinental… Tebboune rêve. Debout.

Question: comment un chef d’État peut-il se permettre une telle insoutenable légèreté (sa marque de fabrique au demeurant), alors que son pays est embourbé dans de profondes crises avec la plupart des pays avec lesquels il entend librement commercer? Des crises qui ont d’ailleurs soufflé le peu de place qu’occupait l’Algérie dans une zone censée être sa chasse gardée comme le Sahel.

Avec le Mali, par exemple, dire que rien ne va plus est un doux euphémisme. Dans un ultime camouflet pour l’Algérie, le 25 janvier dernier, le gouvernement de transition malien a annoncé sa sortie des accords d’Alger, signés en 2015 et qui prévoyaient notamment de rétablir la paix au Mali. Les actuelles autorités maliennes considèrent que cet accord fait surtout les affaires des séparatistes touaregs, savamment entretenus par Alger, et de cette dernière, qui en abuse pour s’ingérer sans ménagement aucun dans les affaires intérieures de Bamako.

Dans un double communiqué, lu à la télévision d’État par le colonel Abdoulaye Maïga, porte-parole du gouvernement, le Mali a annoncé la «fin avec effet immédiat» de l’Accord d’Alger, qui aura vécu moins de 9 ans après sa signature. Et pour cause: «Le gouvernement de transition constate avec une vive préoccupation la multiplication d’actes inamicaux, des cas d’hostilité et d’ingérence dans les affaires intérieures du Mali par les autorités de la République algérienne démocratique et populaire, toutes choses portant atteinte à la sécurité intérieure et à la souveraineté du Mali», a appuyé le porte-parole du gouvernement malien.

«Le fond du problème est clair: Bamako reproche à Alger ses liens avec les “séparatistes” touareg, ainsi que l’accueil fait le mardi 19 décembre par le président Abdelmadjid Tebboune à une délégation politico-religieuse malienne dirigée par l’imam Mahmoud Dicko, influent chef religieux d’ethnie peule et opposant au gouvernement de transition. Cela a pu faire penser à ce dernier qu’Alger allait tenter d’ouvrir un nouveau front au Mali, afin de donner de l’air à ses alliés touareg actuellement en difficulté militaire», expliquait l’historien et chroniqueur Bernard Lugan dans une chronique publiée sur Le360. Dommage collatéral, et non des moindres: les intérêts de l’Algérie se trouvent donc opposés et confrontés à ceux de son allié historique, la Russie, pays qui lui fournit la quasi-totalité de son armement… mais qui, en même temps, aide l’armée malienne à écraser les forces touareg soutenues par Alger.

Des ZLE pour échanger quoi?

Avec le Niger voisin, la situation n’est guère meilleure. Les relations bilatérales sont pour le moins conflictuelles, l’Algérie ayant eu le génie d’annoncer une médiation dans la crise au Niger avec un échéancier qui conduit à des élections. Le 2 octobre 2023, le chef de la diplomatie algérienne, Ahmed Attaf, a poussé le ridicule jusqu’à publier une déclaration dans laquelle il annonçait que la proposition algérienne avait été acceptée. Celle-ci supposait des discussions politiques «pendant six mois au maximum (...) avec la participation et l’approbation de toutes les parties au Niger sans exclusion», sous la tutelle d’une «autorité civile dirigée par une personnalité consensuelle et acceptée par tous les bords de la classe politique», afin de conduire au «rétablissement de l’ordre constitutionnel dans le pays». Sauf que le lendemain, les autorités nigériennes lui apportaient un cinglant démenti dans un communiqué officiel. Le Premier ministre du Niger, Ali Mahaman Lamine Zeine, a d’ailleurs précisé avoir appris l’acceptation de cette médiation… sur les réseaux sociaux. Après un long silence, Alger annonce «renoncer» à son offre de médiation.

Dans les deux cas, une chose est sûre: le Mali et le Niger se sont totalement émancipés de l’influence algérienne et se tournent vers d’autres pays, dont le Maroc, à la faveur notamment de l’initiative royale conduite par Mohammed VI lui-même: l’Alliance atlantique. Mais c’est une autre paire de manches.

À ces considérations s’ajoute l’épreuve du réel. Une zone de libre-échange suppose en premier lieu qu’il y ait… des échanges. «Qu’elles soient publiques ou privées, les entreprises algériennes n’ont pratiquement aucune présence réelle dans les pays concernés par ces ZLE. Mis à part, peut-être, Air Algérie et, un peu, la Sonatrach. Alors que les banques, les sociétés de télécommunications et de BTP marocaines sont légion dans la sous-région, aucune entreprise algérienne n’y est représentée», souligne le journaliste algérien en exil Abdou Semmar dans une vidéo dédiée.

Concrètement, si les échanges commerciaux entre ces pays et le Maroc sont une réalité, pour l’Algérie, passez votre chemin. Comptez une moyenne annuelle d’à peine 600 millions de dollars (chiffre établi en 2022) avec l’ensemble des pays d’Afrique. Et ces derniers y perdent, puisque la balance commerciale est largement en faveur du voisin qui n’exporte que des hydrocarbures. En face, la valeur des échanges entre le Maroc et les pays africains dépasse les 6,4 milliards de dollars, dont plus des deux tiers sont des importations.

Un pays à quantité négligeable

À côté, l’État algérien, avec tous ses pétrodollars, se montre faillible. Les projets annoncés tambour battant par l’Algérie, pour certains depuis les années 1970, n’ont jamais dépassé l’état de la maquette. Florilège: la route transsaharienne reliant six pays africains, le réseau coaxial transsaharien de fibre optique dans la région du Sahel, le gazoduc transsaharien entre le Nigeria et l’Algérie… N’en jetez plus!

De quoi achever la perte de toute forme de crédibilité de l’Algérie sur la scène tant régionale, continentale qu’internationale. Le véritable coup de grâce qu’a été le rejet absolu de la candidature algérienne à intégrer les BRICS aurait pourtant dû servir de leçon au président Tebboune, qui avait fait de cette adhésion un «chantier de règne». Mais ce serait accorder à l’homme un minimum de bon sens dont il ne dispose pas.

Même les pays censés le soutenir dans cette impossible œuvre, ses supposés alliés russes, chinois et sud-africains, se sont abstenus de cautionner une telle insanité, traitant l’Algérie en quantité négligeable et lui préférant, en août 2023, et de très loin, des pays solides et avec une vraie vision comme l’Arabie saoudite ou les Émirats arabes unis, ou encore des «outsiders» comme l’Égypte et surtout l’Éthiopie.

La phrase du ministre russe des Affaires étrangères, Sergueï Viktorovitch Lavrov, supposant que l’Algérie n’ait «ni le poids économique ni l’influence régionale» essentiels à une éventuelle intégration est rivetée dans toutes les mémoires. Sauf celle de Tebboune, visiblement.

Comme exercice de rattrapage, le chef d’État algérien se rabat ainsi sur le Sahel. Sans aucun succès, ni présent ni à venir, l’échec de la bouée de sauvetage que sont les ZLE annoncées étant justement annoncé. Une habitude.

Le mandat de toutes les humiliations

La liste des échecs diplomatiques (et des chèques inutilement distribués) signés Abdelmadjid Tebboune est longue comme un jour de ramadan estival. De l’infiniment grand à l’infiniment petit, en voici un aperçu. La médiation proposée par l’Algérie dans le conflit russo-ukrainien, excusez du peu, a littéralement fait pschitt et le sujet n’a à aucun moment été sur la table. Ceci, alors que Tebboune s’était livré à une séance d’auto guili-guili sur Al Jazeera, en mars 2023, affirmant que «l’Algérie n’intervient jamais dans une médiation si le pays n’est pas certain du résultat». Idem pour la crise au Niger.

Le 13 octobre 2022, l’initiative algérienne de réunir pas moins de 14 factions palestiniennes, dont le Fatah et le Hamas autour de «La Déclaration d’Alger», dans laquelle elles se sont engagées à sceller leur réconciliation, a finalement été un parfait non-événement.

S’y ajoutent les fiascos de la conférence de la Ligue arabe organisée en Algérie et de la réintégration de la Syrie dans le corps arabe, sans même que les dirigeants du pays voisin, qui y tenaient tant, ne soient consultés. Sans oublier les toutes récentes humiliations espagnole et saoudienne, le ministre espagnol des Affaires étrangères ne s’étant pas rendu à Alger pour la «réconciliation du siècle», et le prince héritier et homme fort des lieux saints de l’islam n’ayant pas jugé utile de recevoir le chef de l’armée, Saïd Chengriha, lors de son interminable séjour à Riyad.

Le tout, et on en oublie, en un seul mandat présidentiel d’Abdelmadjid Tebboune. Un record. Tout est de savoir si, avec un tel bilan, l’armée qui tient le gouvernail du pouvoir algérien va le laisser rempiler pour un nouveau mandat de déconvenues, de décisions et contre-décisions (les deux-en-un et en même temps, comme ce fut le cas pour le vrai faux boycott du port Tanger Med pour le transbordement des marchandises destinées à l’Algérie). Ou si les généraux vont enfin se rendre compte de leur monumentale erreur de casting et choisir un autre homme de paille pour servir de président de pacotille à un pays en inexorable chute libre.

Par Tarik Qattab
Le 16/02/2024 à 14h46

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Libre échange des Files d'attente et le vol. La grande spécialité algérienne. Quand à la route pour ennuyer le Maroc. Ils sont incapables de restaurer les routes que les français ont laissé en 1962. S'il n'y avaient pas les français dans ce pays, il y auraient que des pistes. Des bras cassés qui n'ont que la g.

ces contorsionnistes du cerveau se débâtes dans le vide quant a cette zone de libre échange imaginaire, déjà qu'ils n'arrivent pas a satisfaire leur peuple en légumes secs et en bouteilles de gaz voir les files dès le chant du coq. Y a rien a faire, les réussites du Maroc les traumatise au point ils accouchent de tout point de vue, "vous allez voir ce que vous allez voir", quand on pense que réaliser une voix satisfaisante entre tindouf et le nord ouest de la Mauritanie, relève de l’extraordinaire pour ne par dire du réalisable dans un temps de 20 ans. Sacrés guignols

C'est vrai le Maroc a la malchance de se trouver côte à côte avec un pays qui l'envie et qui fait tout pour l'imiter sans succès l'Algérie cherche par tous les moyens à ressembler au Maroc qu'elle déteste jusqu'à la folie La question de libre échange de médiation de gazoduc entre le Nigéria et l'Algérie toutes ces tentatives sont nés mortes dès l'annonce ridicule d'un président fantoche jusqu'à devenir ridicule

Vendre quoi aux pays du Sahel? Du sable? Le petite fille de la France n'arrive pas à subvenir à sa propre pietre population de 45 millions de dz, souhaite une zone de libre échange! Mais en quoi? La création française n'arrive pas à être membre de l'OMC, pour la simple raison à cause de sa archaïque économie, qui est surtout basée sur les exportations des HC et du gaz, dont plus de 45% est consommées par les Dz et une grande partie revient à la colonisatrice France! Exporter des dattes CANCÉRIGÈNES? Du blabla ? Expliquez moi, comment un pays déficitaire au niveau bouffe pour son misérable peuple algérien écrasé et opprimé veut offrir ce qu'il ne possède pas! Nous constatons tous sur les réseaux sociaux cette misère qui vit ce peuple Dz, qui passe ses journées à courir pour se nourrir!

Une chose que je n'ai pas comprise, une ZLE s’établit entre 2 ou plusieurs pays comme l'UE ou l'ALENA et nécessite de longues négociations avant de voir le jour. Avec la Mauritanie, Tebboune avait parlé d'une ZLE près de Tindouf au niveau de la frontière Mauritanienne. Dans de tels cas on parle de Zone Franche. Quand aux autres elles ne sont qu'un rêve éveillé. Si une telle zone est crée au Sahara sans aucun cadre juridique, loin des routes et centres commerciaux, elle n'attirera que les trafiquants et compagnie. Suis-je stupide à ce point ?

Oui mais le QI d'une moule des dirigeants hachakoum de la dictature militaire algérienne pensent et croient à une zone de libre échange entre les pays limitrophes une sorte d'espace de TROC comme à l'époque de Moïse, d'ailleurs leur grand MOKH Abdelmajid hachakoum avait proposé cette idée ! Extrait : Le commerce de troc frontalier est destiné à faciliter l'approvisionnement des populations résidant dans certaines zones reculées du sud algérien. Depuis longtemps, les pouvoirs publics accordent une grande importance aux régions frontalières de l'algérie en vue de contribuer au développement 😂local et promouvoir les exportations hors hydrocarbures notamment vers le Niger, le Mali, la Mauritanie, la Libye 😂 et d'autres pays africains...ces trépanés du bulbe Dz ne vivent pas encore en 2024.

Zone libre échange? Un pays sous-développé, telle la bâtarde de la France? Qu'a-t-elle à offrir, puisque la sous-traitante de la France en AFRIQUE importe tout et ne produit RIEN! Simplement parce les idiots militaires algériens ne peuvent admettre officiellement toutes les insuffisances et la médiocrité de leur poubelle à ciel ouvert, alors, ils rabattent sur la propagande pour mieux hypnotiser le misérable petit peuple Dz et qui ont plongé le pays dans le marasme, la misère et la médiocrité, Depuis +61 ans ont fait de ce pays le plus riche d'Afrique un pays sous-développé, tiers mondiste et dictatorial où le simple lambda Dz est considéré comme un tube digestif, qui passe ses journées à quémander dès le petit matin des produits de première nécessité! Mais offrir quoi aux pays du Sahel ?!

Abdou semmar n'est pas une référence,

Disons ÂneGérie poubelle du fils du plus grand boucher et criminel (nezzar) sur le pauvre peuple algérie, a plus de la matière grise niveau analyse !? 😂.

Pauvre peuple Algérien ! Un peuple merveilleux qui mérite mieux ! C'est incroyable, depuis leur indépendance, ce peuple fatigué et épuisé, est nourri de démagogie !! Pourra-t-il encore se soulever ?...

Ça patauge la bas et ça risque d être englouti.

Pourquoi donner l'importance à ce qu'il dit Monsieur Tabboune? Monsieur Taboune il le fait exprès pour faire réagir le Maroc et les Marocains il le fait exprès pour faire énerver le Maroc et les Marocains

Pour que "monsieur hachakoum" le fasse exprès..., aussi faudrait-il lui accorder un minimum d'intelligence dont il est manifestement dénuée ! Hors,très franchement et en toute honnêteté, j'en doute honnêtement ! Que ce mot "honnête" fasse écho à l'Est pour justement rester honnête sans quémander des flatulences en gazoducs???? !!!! Que Dieu bénisse le Royaume du Maroc ! Et que cette idéologie imbibée chez nos "chers voisins" en photocopie d'un communisme irrecevable dans son athéisme aille au diable !.. Ici,on commence notre devise par Allah Lui-même ! Qui dit mieux à la face de la terre???.. Bien sûr que oui !: Allah Al Watan Al Malik !🇲🇦🇲🇦🇲🇦 Une autre interrogation pertinente ?

Si on surnomme cet individu de "Cadboune"; ce n'est pas pour rien. Mais est-ce qui se rend compte que dans chacune de ses sorties, il se rend ridicule devant le monde entier? Mai on dirait s'il le fait exprès, ou tout simplement; il est vraiment un vrai obscurantiste de haut niveau, que dieu nous le garde pour nous amuser.

Le comportement du système d'Algérie a toujours été traître, tous les pays qui avaient cooperés avec l'Algérie se sont rendus compte de cette traîtrise. Qui sème le vent récolte non seulement la tempête mais surtout la foudre.

...La phrase du ministre russe des Affaires étrangères, Sergueï Viktorovitch Lavrov, supposant que l’Algérie n’ait «ni le poids économique ni l’influence régionale» .......et l'ambassadeur russe en âne-j'ai-ri n'a même pas été convoqué par la puissance de rappe ? où alors parce que ce n'est pas le Mali, ou cite d'ivoire ? quel lâcheté de la part de ces racistes ânes-j'ai-rien au pouvoir !?

Quel bilan! Hilarant ! et ils vont encore continuer, la bêtise n'a pas de limite dans leur paradigme. Hélas...

Comment faire entrer,en toute urgence,des devises dans"cette si merveilleuse algérie?" Rien de plus simple et élémentaire!: aidons "ces braves dirigeants d'alger"à ériger le plus grand chapiteau au monde en place de la mouradia,et assistons au burlesque proposé à cette planète terre à l'étroit grâce aux hydrocarbures, étrangers à la couche d'ozone, à alger,dans...: vive la zone party ! Quant à Tanger ? Attention "danger", aussi, pour le pouvoir d'achat algérien puisque les transbordements devront passer, désormais, par l'Antarctique, l'Adriatique ou même l'Artique !.. Et ces vieillards,à l'article de la mort,continueront à amuser la galerie même si l'heure est grave en cette volonté sournoise, à l' Est,de scinder en deux la terre de nos ancêtres !!!... Bref, pour gagner en gravité !: 🇲🇦

Comment peut-il mettre en place une zone de libre -échange, alors que la région souffre des attaques de criminels? D'autre part , il est en mauvais terme avec les pays du Sahel et puis , que peut-il leur offrir ? Les légumes, il les importe de l'étranger , les produits industriels , il les importe également de l'étranger .Donc que peut-il offrir, sinon que des promesses auxquelles personne n'y croit !

Très bel article

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