"Une question majeure se posent au problème du rapatriement à savoir les difficultés liées à l'identification de ces mineurs. Le deuxième point a trait aux diverses conventions internationales qui accordent la protection de ces enfants par les pays d'accueil", a déclaré la ministre hier, mardi 24 décembre, lors de la séance des questions orales à la Chambre des conseillers.
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La ministre a ajouté que le Maroc travaillait à ces dossiers au sein de commissions bilatérales, existant notamment avec la France et l'Espagne.