Toutes les vidéos Médias

Dar Lkabranate. EP-186. Tebboune en guerre sainte contre les «dinars parasites»
Face à une monnaie qui fond comme neige et à une économie qui avance à reculons, le régime d’Alger a dégainé l’arme fatale: la chasse aux «dinars parasites». La guerre sainte contre une monnaie jugée indisciplinée est déclarée et c’est tonton Tebboune qui va la mener. Car le problème, évidemment, n’est ni structurel, ni politique, ni lié à une gestion approximative. Non. Le vrai coupable, ce sont des dinars contre-révolutionnaires. On nous sert donc un nouveau concept, tout chaud, tout neuf, directement sorti des laboratoires créatifs d’El Mouradia. Tant qu’il reste des mots à inventer, la crise peut bien attendre. Après tout, quand on n’a plus de vision, il reste toujours l’imagination.
Le36. EP487. Mascottes sous tension: le Fennec auditionné pour «jalousie aggravée» envers Assad
Convoqué à la Brigade, le Fennec, mascotte de l’équipe nationale algérienne, est soupçonné de jalousie envers Assad, le lion récemment désigné mascotte officielle de la CAN 2025. Petit renard du désert, le Fennec se dit surtout victime d’un grave préjudice esthétique. «Regardez mon cou… une erreur de conception! S’ils voulaient ça, ils auraient dû choisir une cigogne», proteste-t-il, visiblement meurtri par son propre design. Avant de quitter les lieux, il lance un appel solennel: «Comme vous demandez à chaque fois de rejouer un match perdu, moi aussi je demande qu’on me refasse.»
Penser, est-ce encore un droit… ou déjà un devoir? | Podcast Business & Leaders (EP30)
Dans ce nouvel épisode du Podcast Business & Leaders, Jamal Belahrach reçoit Driss Jaydane, enseignant en philosophie. Un dialogue profond sur le droit de penser, mais aussi sur le devoir de penser, à l’heure où une partie de l’élite peine à se projeter dans les mutations sociologiques et culturelles du monde. Face aux limites d’une gouvernance uniquement technocratique ou politique, cet échange ouvre une voie: bâtir une nouvelle doctrine, condition d’un nouveau contrat social, pour dépasser l’egocratie et refonder le sens de l’intérêt général et de la cohésion nationale.
Dar Lkabranate. EP-185. Les généraux en mode séduction vis-à-vis d’Israël
Officiellement, ils continuent à parader comme si tout allait pour le mieux. Il faut bien préserver l’illusion pour le public. En réalité, en coulisses, ils grattent le fond du tiroir pour tenter un dernier repositionnement sur le dossier du Sahara, surtout en Afrique. Mais bon… ils savent très bien que la partie est terminée depuis longtemps. Les sous-fifres s’arrachent les cheveux pour imaginer une sortie honorable, espérant vaguement recoller les morceaux avec le Maroc, lançant des signaux embarrassés vers Israël, et attendant religieusement un quelconque signe venu de l’administration Trump. Tout ça pour arriver… exactement là où tout le monde savait qu’ils finiraient: très bas.
Le36. EP486. Il voulait rugir, il a fini par bêler: le Lion de TikTok déchante
Venu de son plein gré côtoyer la faune d’influenceurs, le Lion de TikTok réalise trop tard qu’il a peut-être troqué sa crinière contre un bonnet d’âne. Il dit avoir perdu en valeur à force de fréquenter des créateurs dont le talent principal consiste à déballer des cadeaux virtuels. Pour lui, tout ce beau monde devrait être envoyé directement chez «3sila», le fameux Ratel, histoire qu’on commence enfin à sanctionner le contenu raté de bout en bout. TikTok, juge-t-il, fabrique surtout des célébrités low-cost… et une grande fatigue chez ceux qui bossent vraiment.
Et si le vrai mal du Maroc était l’ego? | Podcast Business & Leaders (EP29)
Un échange avec Rachid Boufous, exigeant, parfois dérangeant, toujours lucide. Il y est question de probité, de rigueur morale, de pseudo-élites, de patriotisme de façade, mais surtout d’un besoin vital: refonder un nouveau contrat social, dans l’alignement des orientations de Sa Majesté le roi Mohammed VI, pour projeter enfin la jeunesse marocaine vers le monde nouveau. Un podcast qui bouscule, qui interroge, et qui appelle à plus d’humilité, de responsabilité… et de courage.
Le36. EP485. Venue râler à la brigade, l’olive espagnole joue les inspectrices Michelin du goût perdu
Venue se plaindre à la brigade, l’olive espagnole accuse les Marocains de lui faire un mauvais procès. En raison de son prix et de son goût qui, selon eux, ne tient pas trois mois, comme si elle était certifiée par le Guide MICHELIN. Pendant que l’huile locale reste plus chère, eux ont profité de l’abondance comme du Wi-Fi du voisin, gratuit et à volonté, jusqu’au jour où soudain… plus rien ne leur plaît. Ils prétendent que la magie s’est envolée. Elle, convaincue d’être victime d’un sabotage gastronomique, pense plutôt que l’huile leur a fait le même effet qu’un Covid express, un petit nez bouché et hop, ils croient que tout a changé.
Amine Zariat: le sport comme levier d’inclusion? | Podcast Business & Leaders (EP28)
Le sport peut changer une vie… et parfois toute une société. Avec Amine Zariat, président de Tibu Maroc, nous parlons éducation, inclusion et engagement à grande échelle. Un épisode inspirant, au service du sport pour tous et du vivre-ensemble.
Dar Lkabranate. EP-184. Les caporaux au temps des mythos et des envies mal placées
Ah, la jalousie envers le Maroc… rien de neuf sous le soleil (ou sous les nuages, vu le sujet). Ce qui change un peu, c’est de voir certains caporaux commencer à envier au Royaume… la pluie. Oui, on en est là: admirer les quelques gouttes tombées ces derniers jours comme si c’était de l’or météorologique. Pendant que certains rêvent d’un peu d’eau pour calmer les feux de forêt que le voisin subit en plein automne, d’autres voudraient surtout diluer un peu les déclarations présidentielles. Parce qu’entre nous, annoncer 900 km de voies ferrées pour janvier prochain, c’est cardio. Et les 20 milliards d’investissements malaisiens qui débarqueraient comme par magie? Ils prendront probablement le même train Béchar-Tindouf, celui qui n’existe que dans l’imagination d’un président devenu plus que jamais gaga.
Le36. EP484. Regragui, invaincu mais toujours accusé…de gagner mal
Le Maroc aligne les victoires comme jamais - un record mondial, s’il vous plaît - mais Walid Regragui peine malgré tout à convaincre. On lui reproche ses tactiques trop prévisibles et surtout ses convocations de joueurs en fin de carrière, qui font craindre une CAN version “vétérans”. Convoqué à la Brigade, Regragui persiste et signe. Il défend ses choix bec et ongles. Il aurait même plaisanté sur un possible retour de Benatia et Boussoufa. À ce rythme, la prochaine liste risque de ressembler à une réunion d’anciens élèves.