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Dar Lkabranate. EP-185. Les généraux en mode séduction vis-à-vis d’Israël
Officiellement, ils continuent à parader comme si tout allait pour le mieux. Il faut bien préserver l’illusion pour le public. En réalité, en coulisses, ils grattent le fond du tiroir pour tenter un dernier repositionnement sur le dossier du Sahara, surtout en Afrique. Mais bon… ils savent très bien que la partie est terminée depuis longtemps. Les sous-fifres s’arrachent les cheveux pour imaginer une sortie honorable, espérant vaguement recoller les morceaux avec le Maroc, lançant des signaux embarrassés vers Israël, et attendant religieusement un quelconque signe venu de l’administration Trump. Tout ça pour arriver… exactement là où tout le monde savait qu’ils finiraient: très bas.
Le36. EP486. Il voulait rugir, il a fini par bêler: le Lion de TikTok déchante
Venu de son plein gré côtoyer la faune d’influenceurs, le Lion de TikTok réalise trop tard qu’il a peut-être troqué sa crinière contre un bonnet d’âne. Il dit avoir perdu en valeur à force de fréquenter des créateurs dont le talent principal consiste à déballer des cadeaux virtuels. Pour lui, tout ce beau monde devrait être envoyé directement chez «3sila», le fameux Ratel, histoire qu’on commence enfin à sanctionner le contenu raté de bout en bout. TikTok, juge-t-il, fabrique surtout des célébrités low-cost… et une grande fatigue chez ceux qui bossent vraiment.
Et si le vrai mal du Maroc était l’ego? | Podcast Business & Leaders (EP29)
Un échange avec Rachid Boufous, exigeant, parfois dérangeant, toujours lucide. Il y est question de probité, de rigueur morale, de pseudo-élites, de patriotisme de façade, mais surtout d’un besoin vital: refonder un nouveau contrat social, dans l’alignement des orientations de Sa Majesté le roi Mohammed VI, pour projeter enfin la jeunesse marocaine vers le monde nouveau. Un podcast qui bouscule, qui interroge, et qui appelle à plus d’humilité, de responsabilité… et de courage.
Le36. EP485. Venue râler à la brigade, l’olive espagnole joue les inspectrices Michelin du goût perdu
Venue se plaindre à la brigade, l’olive espagnole accuse les Marocains de lui faire un mauvais procès. En raison de son prix et de son goût qui, selon eux, ne tient pas trois mois, comme si elle était certifiée par le Guide MICHELIN. Pendant que l’huile locale reste plus chère, eux ont profité de l’abondance comme du Wi-Fi du voisin, gratuit et à volonté, jusqu’au jour où soudain… plus rien ne leur plaît. Ils prétendent que la magie s’est envolée. Elle, convaincue d’être victime d’un sabotage gastronomique, pense plutôt que l’huile leur a fait le même effet qu’un Covid express, un petit nez bouché et hop, ils croient que tout a changé.
Amine Zariat: le sport comme levier d’inclusion? | Podcast Business & Leaders (EP28)
Le sport peut changer une vie… et parfois toute une société. Avec Amine Zariat, président de Tibu Maroc, nous parlons éducation, inclusion et engagement à grande échelle. Un épisode inspirant, au service du sport pour tous et du vivre-ensemble.
Dar Lkabranate. EP-184. Les caporaux au temps des mythos et des envies mal placées
Ah, la jalousie envers le Maroc… rien de neuf sous le soleil (ou sous les nuages, vu le sujet). Ce qui change un peu, c’est de voir certains caporaux commencer à envier au Royaume… la pluie. Oui, on en est là: admirer les quelques gouttes tombées ces derniers jours comme si c’était de l’or météorologique. Pendant que certains rêvent d’un peu d’eau pour calmer les feux de forêt que le voisin subit en plein automne, d’autres voudraient surtout diluer un peu les déclarations présidentielles. Parce qu’entre nous, annoncer 900 km de voies ferrées pour janvier prochain, c’est cardio. Et les 20 milliards d’investissements malaisiens qui débarqueraient comme par magie? Ils prendront probablement le même train Béchar-Tindouf, celui qui n’existe que dans l’imagination d’un président devenu plus que jamais gaga.
Le36. EP484. Regragui, invaincu mais toujours accusé…de gagner mal
Le Maroc aligne les victoires comme jamais - un record mondial, s’il vous plaît - mais Walid Regragui peine malgré tout à convaincre. On lui reproche ses tactiques trop prévisibles et surtout ses convocations de joueurs en fin de carrière, qui font craindre une CAN version “vétérans”. Convoqué à la Brigade, Regragui persiste et signe. Il défend ses choix bec et ongles. Il aurait même plaisanté sur un possible retour de Benatia et Boussoufa. À ce rythme, la prochaine liste risque de ressembler à une réunion d’anciens élèves.
Dar Lkabranate. EP-183. Après les esclandres, l’humiliation: comment les caporaux tentent de se rabibocher avec la France
Après avoir réussi le tour de force de se mettre à dos les pays les plus bienveillants à son égard, le régime d’Alger se précipite de nouveau dans les bras de la France. Quitte à se déculotter et libérer l’écrivain Boualem Sansal, alors qu’Alger avait fait du maintien de l’otage un sacrifice pour obtenir la reconnaissance de la marocanité du Sahara par Paris. Et bien joué pour les bons offices de l’Allemagne. Qu’ont gagné les caporaux? Une humiliation de plus. Rien d’étonnant dans un pays où c’est une pin-up, Ibtissam Hamlaoui pour ne pas la nommer, qui porte vraiment la moustache.
Le36. EP483. Devant la Brigade, «3ssila» lance la chasse aux sosies
Ratel, ou «3ssila» pour les intimes du scroll infini, ne craint ni l’acier des dents du serpent ni l’haleine du tigre. Il traverse la savane comme un habitué qui connaît chaque raccourci du souk un vendredi. Maintenant, il s’est trouvé une nouvelle mission sacrée «traquer tout animal qui ose lui ressembler». En Algérie, (et comme par hasard) certains veulent s’attribuer son succès, tandis que lui jure que la célébrité coule dans ses veines. Prochaine cible annoncée: le fennec... Le règne animal retient son souffle. 3ssila, jamais.
Badr Siwan et la passion du Triathlon| Podcast Business & Leaders (EP26)
Dans cet épisode de Business & Leaders, Jamal Belahrach reçoit Badr Siwan, jeune triathlète de 31 ans qui vise le championnat du monde et les Jeux olympiques de Los Angeles. Poussé par son père, originaire de Khémisset, et sa mère corse, ce champion porte fièrement les couleurs du Maroc sur les circuits internationaux. Refusant la voie de la facilité, Badr s’entraîne en moyenne 27 heures par semaine et ne compte pas lâcher prise.