Vidéo. Etre un professionnel du tourisme à Dakhla en temps de coronavirus

Le360

En attendant l’ouverture des frontières, et frappée de plein fouet par les conséquences de la crise sanitaire, la destination Dakhla ne peut compter que sur une clientèle domestique.

Le 11/05/2021 à 12h48

Les temps sont durs pour le tourisme à Dakhla, témoigne Kenza Fenjiro, directrice d’une station touristique à Dakhla.

Malgré le protocole sanitaire strictement respecté par les autorités locales (test PCR pour chaque passager arrivant à l’aéroport) et les efforts consentis en matière de tarification, les professionnels du tourisme traversent une conjoncture difficile liée aux effets de de la crise sanitaire, ajoute-t-elle. 

«Les déplacement restent difficile, même à l’échelle nationale. Le pouvoir d’achat a été impacté par la crise sanitaire. La reprise de l’activité est tributaire de l’ouverture des frontière et de la reprise des vols internationaux», souligne Kenza Fenjiro.

Les professionnels, poursuit-elle, doivent se réinventer pour pouvoir continuer à tenir face la crise. 

Par Souilme Bouaamoud
Le 11/05/2021 à 12h48

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Les prix de dakhla sont très onéreux plus cher que la Turquie et l Espagne pour les hôtels. Pour une famille nombreuse de 5 personnes c est cher. Peut être pour les singles ou couples.

Il ne faut plus compter sur le tourisme qui est une fausse solution à long terme, aucun pays n'a émergé économiquement avec le tourisme. Il faut plutôt compter sur l'industrie (manufacture et service) et sur une agriculture pêche durables et efficientes. Heureusement un réveil tardif a eté effectué avec les plans agricols et industriels mais il faut prendre conscience que le tourisme est une fausse voie.

Pourquoi une fausse voie ? C'est une voie parmi d'autres. Ne pas compter que sur ça certes mais une économie doit être diversifiée. Le Maroc a un très gros potentiel. Ce serait stupide de s'en priver. Il y a tant de personnes qui souhaitent y aller. Cette pandemie va finir un jour.

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