Décidée d’abord au niveau du tribunal de commerce de Casablanca (mars 2016), puis par la Cour d’appel, la plus grande liquidation judiciaire de l’Histoire du Maroc vient d’être confirmée par la Cour de cassation.
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Il ne reste plus qu'à savoir à présent si la raffinerie réussira à trouver repreneur ou si finira-t-on par convertir la dette des créanciers (notamment envers l’administration des Douanes qui réclame plus de 20 milliards de dirhams) sous forme de prises de participations dans le tour de table de la raffinerie.