Economie

Une étude universitaire allemande consacre le Maroc comme l’un des fournisseurs les plus compétitifs d’ammoniac vert pour l’Europe. Au-delà de la production d’électricité renouvelable, le Royaume s’impose désormais comme exportateur de molécules énergétiques et pivot d’une nouvelle géographie énergétique euro-africaine.

La crise couvait depuis plusieurs jours dans les perceptions relevant encore de la Trésorerie générale du Royaume (TGR). Elle a fini par éclater au grand jour, sur fond de dénonciations de pratiques jugées «brutales» et d’un bras de fer institutionnel latent entre les ministères de l’Intérieur et de l’Économie et des Finances. C’est dans ce contexte explosif que la ministre de l’Économie et des Finances, Nadia Fettah, a réuni en urgence, jeudi 25 décembre en début de soirée, les huit trésoriers régionaux, en présence du ministre délégué chargé du Budget, Fouzi Lekjaâ. Le360 détient une copie du procès-verbal de cette réunion, qui éclaire les décisions prises pour tenter de désamorcer la crise.

La tension monte autour de la mise en œuvre de la loi n°14-25 relative aux taxes des collectivités territoriales. Dans un communiqué au ton ferme, le Syndicat national des finances (SNF), affilié à la Confédération démocratique du travail (CDT), exprime sa vive indignation face aux conditions jugées «chaotiques et attentatoires à la dignité» dans lesquelles s’opère le transfert de certaines perceptions.

L’once d’or a franchi le seuil de 4.500 dollars sur les marchés internationaux. Pour le Maroc, cette envolée combine choc externe et fragilités structurelles d’un secteur qui regroupe plus de 40.000 emplois directs. Driss El Hazzaz, président de la Fédération marocaine des bijoutiers, livre une analyse sans concession sur les risques systémiques pour l’artisanat national.

Attendue depuis des années, la CAN 2025 agit comme un véritable stress test économique pour le Maroc. Bien plus qu’un événement sportif, elle bouscule les habitudes de consommation et fait du salon marocain le nouveau stade central, accélérant la mutation des usages médiatiques et des équipements des ménages.

À la fin de l’année 2025, l’économie marocaine affiche des indicateurs globalement rassurants, portés par une croissance solide et une inflation maîtrisée. Derrière cette résilience, les fragilités structurelles et les tensions sociales persistent, faisant de 2026 une année décisive pour transformer la croissance en emplois, en confiance et en progrès durable. Cet article est une revue de presse tirée du quotidien L’Economiste.

L’événement mobilise entre 600.000 et un million de visiteurs et génère des retombées économiques estimées à près de 12 milliards de dirhams. Tourisme, transport aérien, infrastructures et emploi figurent parmi les principaux bénéficiaires de cette compétition, qui s’impose comme un levier stratégique de croissance et de rayonnement pour le Royaume. Cet article est une revue de presse tirée de Challenge.

Avec la promulgation de la loi 03.25, le Maroc engage une réforme majeure de la réglementation des organismes de placement collectif en valeurs mobilières. En modernisant les règles prudentielles, en renforçant la transparence et en intégrant la finance participative, le nouveau dispositif marque un tournant stratégique pour l’épargne collective et le développement du marché financier national. Cet article est une revue de presse tirée du quotidien Les Inspirations Eco.

Signée récemment par un ensemble élargi d’acteurs publics et privés, la Charte nationale dédiée aux très petites entreprises ambitionne de lever les freins structurels au financement des TPE. En tirant les leçons du programme Intelaka, ce cadre inédit mise sur un accompagnement renforcé, un scoring national et des engagements chiffrés pour transformer durablement un segment qui représente 94% du tissu économique national. Décryptage.