La gestion du grand théâtre de Casablanca coûtera à la ville plus de 100 millions de dirhams par an, selon Nabila Rmili

Le grand théâtre de Casablanca.

L’important retard pris par le grand théâtre de Casablanca est dû au problème posé par le mode à adopter pour sa gestion, selon Nabila Rmili. La maire de Casablanca a révélé ce jeudi, lors d’une conférence-débat, que la gestion de cette infrastructure culturelle coûtera à la ville annuellement plus de 100 millions de dirhams.

Le 03/05/2024 à 08h33

Le retard enregistré dans l’entrée en activité du grand théâtre de Casablanca est attribué par Nabila Rmili, présidente du Conseil de la ville de Casablanca, à la question du mode de gestion à adopter pour cette infrastructure culturelle.

Les meneurs de ce projet sont, en effet, en train d’étudier le business model adéquat pour ce théâtre dont la gestion devra coûter à la ville plus de 100 millions de dirhams de déficit annuel, explique la maire, lors d’une conférence-débat sur «Casablanca à Horizon 2030», organisée par La Vie Eco, jeudi soir à Casablanca. Ce qui implique également la préparation du budget de fonctionnement de ce théâtre.

Par Lahcen Oudoud
Le 03/05/2024 à 08h33