La chronique de Mouna Hachim

Réalisée par la romancière et essayiste Mouna Hachim, «Marocains dans l’histoire» est votre série qui documente pour Le360 les figures marocaines ayant marqué l’humanité à travers les siècles. Cette semaine, place à Idris ben Koury Cherradi. Il était gouverneur du Touat et représentant du Sultan marocain dans ces oasis orientales après avoir exercé au Tafilalet. Les livres d’histoire retiennent qu’il avait protesté officiellement contre l’occupation française de Aïn Saleh, une des oasis du Tidikilet, tout comme il a dirigé en personne la défense lors de la bataille d’Inghar, à l’ouest d’In-Salah en mars 1900.

«Si Al-Andalus n’est plus, Dieu nous a compensés par le Maghrib, qui a préservé son héritage».

Réalisée par la romancière et essayiste Mouna Hachim, «Marocains dans l’histoire» est votre série qui documente pour Le360 les figures marocaines ayant marqué l’humanité à travers les siècles. Cette semaine, place à Mhammed al-Marghiti, un savant traditionniste du 17ème siècle, originaire du Souss, auteur de plusieurs ouvrages dont les plus connus sont dédiés aux sciences astronomiques.

Qui pourrait sous-estimer les retombées incommensurables de tels lieux sur le plan touristique et comme instruments de développement régional?

Nous sommes à Aïn Salah, capitale des ksours du Tidikelt…

Réalisée par la romancière et essayiste Mouna Hachim, «Marocains dans l’histoire» est votre série qui documente pour Le360 les figures marocaines ayant marqué l’humanité à travers les siècles. Cette semaine, place à Cassien de Tingis, dont le martyre est considéré comme «le premier témoignage que nous possédions sur l’existence des chrétiens au Maroc».

L’impact du cinéma sur la médiatisation des espaces ne date pas d’aujourd’hui, même si le «ciné-tourisme» connaît un essor phénoménal…

Réalisée par la romancière et essayiste Mouna Hachim, «Marocains dans l’histoire» est votre série qui documente pour Le360 les figures marocaines ayant marqué l’humanité à travers les siècles. Cette semaine, place à El-Arifa ben Khejjou, dont le nom est associé au cérémonial de cour, à l’organisation de la maison royale et à l’apprentissage des codes et des usages au palais des sultans durant au XVIème siècle.

Les 14 mois de travaux annoncés sont passés à 35 au jour d’aujourd’hui. Le panneau indiquant le chantier a été retiré. Les travaux semblent bel et bien arrêtés. Les Casablancais n’en peuvent plus de s’interroger devant un silence de pierre…