Pris en flagrant délit de soutien au terrorisme par les pays du Sahel, qui l’ont accusé d’une seule voix, d’en être le parrain à l’échelle régionale et internationale, le régime d’Alger a choisi la fuite en avant, sans jamais répondre de façon convaincante à ces graves accusations. Deux ministères algériens ont sorti un communiqué chacun pour annoncer des mesures de rétorsion, dont la fermeture immédiate de l’espace aérien algérien aux avions à destination ou en provenance du Mali, en plus du rappel de deux ambassadeurs algériens à Bamako et Niamey.