«L’Arabe qui sourit», lauréat du premier Prix littéraire du Quai d’Orsay 2025, tisse une tapisserie d’exil, de mémoire et de rébellion syrienne à travers les yeux de Salim, un réfugié en France, qui voyage à Damas avec le cadavre caché de son ami. Ce roman transforme le deuil personnel en une méditation universelle sur le drame des peuples déracinés, et une introspection lyrique sur la Syrie de l’après-Bachar al-Assad.