Tous les articles correspondant à #Déficit budgétaire

Nette amélioration de la résorption du déficit au Maroc
En un an, les recettes brutes ont grimpé de 12,5% contre une progression des dépenses de seulement 2,8%. Une équation gagnante qui a permis de résorber le déficit budgétaire de 25% à fin septembre 2024. Cet article est une revue de presse tirée du quotidien Les Inspirations Eco.
Retraites: la situation devient inquiétante à la CMR
Dans les documents accompagnant le projet de loi de Finances 2025, il est fait mention de la situation actuelle, alarmante, de la Caisse marocaine des retraites. Une revue de presse d’Al Ahdath Al Maghribia.
Pourquoi la note du Maroc a-t-elle été maintenue par Standard & Poor’s?
Le Maroc ne parvient toujours pas à récupérer l’«Investment grade» tant convoité par le gouvernement Akhannouch. L’agence de notation américaine Standard & Poor’s (S&P) vient d’annoncer le maintien de la note de la dette souveraine du Maroc à BB+/B, ainsi que la perspective «positive» associée à cette note. Les détails.
Le gouvernement se montre incapable de juguler le déficit budgétaire
Le déficit budgétaire, qui atteint la somme de 35,2 milliards de dirhams, a augmenté de près de 28% entre juillet 2023 et juillet 2024. À elles seules, les dépenses de fonctionnement émises au cours des sept premiers mois de 2024 totalisent la somme de 168,2 milliards de dirhams. Une revue de presse de L’Économiste.
Finances publiques: l’agence Fitch pointe «des progrès limités» sous le gouvernement Akhannouch
Dans sa dernière note consacrée au Maroc, l’agence de notation américaine Fitch alerte sur la lenteur des réformes visant à rétablir l’équilibre budgétaire au Maroc. Ses analystes émettent des prévisions plus conservatrices que celles du gouvernement Akhannouch, qui visent à le réduire à 3% du PIB d’ici 2026.
Alerte sur la situation financière de l’AMO du secteur public
Gérée par la Caisse nationale des organismes de prévoyance sociale, l’Assurance maladie obligatoire du secteur public a enregistré un déficit de 1,51 milliard de dirhams en 2023. En cause, des cotisations figées, des médicaments coûteux et une hausse du nombre de malades de longue durée. Cet article est une revue de presse tirée du quotidien L’Economiste.
Financements innovants: cession de 175 bâtiments fonctionnels de l’État pour 25,4 milliards de dirhams en 2023
Les financements innovants ont porté sur la cession de 175 bâtiments administratifs et équipements publics, permettant de mobiliser un financement additionnel de 25,4 milliards de dirhams en 2023 pour le Trésor public .
Économie marocaine: une croissance prévisionnelle de 3,5% en 2024, selon la BAD
La croissance du produit intérieur brut (PIB) au Maroc devrait augmenter pour atteindre 3,5% en 2024 et se renforcer à 3,8% en 2025, indique le rapport «Perspectives économiques en Afrique» de la Banque africaine de développement (BAD) dans son édition 2024.
Finances publiques: repli de 88,8% du déficit budgétaire à fin avril 2024, à 1,18 milliard de dirhams
À fin avril 2024, le déficit budgétaire s’est réduit de plus de 88% en comparaison avec la même période de l’année précédente, à 1,18 milliard de dirhams. Cet allègement spectaculaire est dû principalement à la baisse des dépenses de la compensation et la hausse des recettes fiscales.
Trésor public: un excédent budgétaire de 16,84 milliards de dirhams dégagé à fin mars, à quoi peut-il servir?
Le Trésor a dégagé un excédent budgétaire de 16,84 milliards de dirhams au premier trimestre 2024, contre 6,24 milliards de dirhams un an plus tôt. Cet excédent, qui provient d’un effet conjugué d’une augmentation des recettes ordinaires (11,7%) et d’une baisse des dépenses globales de 1,1%, peut faire l’objet de multiples usages. Il peut être affecté à l’investissement, au placement à court terme afin de le rentabiliser, ou au remboursement de dettes.