Alors que dans son plaidoyer, un avocat du comité de défense a insisté sur l’innocence de ses clients, dont le docteur Tazi, co-accusés de «traite d’êtres humains», le procureur général du Roi a rappelé que les faits dont sont accusés les prévenus sont avérés. Le procès de ce chirurgien plasticien, principal actionnaire d’une clinique à Casablanca, et de ses co-accusés, touche bientôt à sa fin. Une revue de presse d’Assabah.