Tous les articles correspondant à #Casablanca

Affaire Bafella: révélations sur le terrain de Aïn Sebaâ qui fait trembler la mairie de Casablanca
À Aïn Sebaâ, un terrain de 13.000 m² est au centre d’un conflit qui secoue la mairie de Casablanca et fait couler beaucoup d’encre. Le récit jusqu’ici relayé par certains élus comporte quelques imprécisions qu’il convient de nuancer. Le360 décrypte les faits, les décisions de justice et les documents fonciers qui éclairent cette polémique.
Info360. Casablanca: le zoo de Aïn Sebaâ ouvre enfin ses portes après des années d’attente
Après plusieurs années de travaux, de reports successifs et une attente interminable pour les Casablancais, le parc zoologique de Aïn Sebaâ ouvrira officiellement ses portes le lundi 22 décembre, apprend Le360 de source sûre. Cette inauguration intervient au lendemain du lancement officiel de la CAN 2025 et vient concrétiser un projet entamé il y a plus de dix ans.
Casablanca: entre scandales fonciers et grandes ambitions, la mairie à la croisée des chemins
Révélation du transfert controversé d’un terrain municipal à une société privée, récupération de centaines de millions de dirhams pour la commune, présentation d’un nouveau plan d’aménagement et création d’une société régionale pour préparer la ville aux grands événements sportifs... Le Conseil de la ville de Casablanca affiche un agenda chargé, sous haute tension. Cet article est une revue de presse tirée du quotidien Al Ahdath Al Maghribia.
L’œil de Gueddar. Aérobus de Casablanca: les grands taxis n’ont qu’à bien se tenir
Comment un espace vert protégé à Aïn Sebaâ s’est retrouvé aux mains d’une société immobilière? La Commune de Casablanca brise le silence
À Aïn Sebaâ, une parcelle de 13.000 m² classée espace vert depuis plus de vingt ans s’est retrouvée soudainement transférée au nom d’une société immobilière privée, Bafella SARL. Cette mutation éclair du titre foncier, intervenue fin novembre, a provoqué un véritable séisme politique et administratif, relançant le débat sur la gouvernance et la protection du patrimoine foncier de la capitale économique.
Finale du Mondial 2030: infrastructures, stratégie et diplomatie, le Maroc avance ses atouts
Alors que le Maroc est en train de construire une enceinte de 115.000 places, l’une des plus grandes au monde, le débat sur le pays hôte de la finale de la Coupe du monde 2030 reste ouvert. Omar Khyari, conseiller à la FRMF, s’est exprimé sur les chances du Stade Hassan II d’abriter la finale du Mondial, co-organisé par le Maroc, l’Espagne et le Portugal.
Avenue Royale: plus que deux semaines avant l’évacuation des habitants de Derb Lengliz
Les habitants de Derb Lengliz, concernés par les opérations de démolition dans le cadre du réaménagement de l’Avenue Royale, sont appelés à évacuer les lieux dans un délai de deux semaines. Ce délai a été jugé insuffisant par les familles concernées. Voici leurs revendications dans cette revue de presse, tirée du quotidien Al Akhbar.
Économie circulaire: où en est le Maroc?
Alors que la COP30, tenue en novembre à Belém, a réaffirmé l’urgence d’une transition industrielle bas-carbone, le Maroc s’inscrit dans cette dynamique et aborde un tournant décisif. Quelques jours après le sommet, le Groupe SUEZ Maroc a réuni industriels, institutionnels et experts afin de débattre de l’économie circulaire comme levier de souveraineté et de compétitivité. Au-delà du recyclage, la rencontre a mis en lumière un enjeu majeur: passer d’initiatives pilotes dispersées à un véritable modèle industriel durable.
Casablanca: le projet routier Dar Bouazza-route d’Azemmour bientôt livré, 90% des travaux réalisés
Les travaux du projet de raccordement de Dar Bouazza à la route d’Azemmour entrent dans leur phase finale. Cet axe structurant promet de fluidifier la circulation, de réduire les embouteillages et d’améliorer la liaison entre plusieurs zones clés du sud de Casablanca. Les images.
Paléoécologie. À Casablanca, un singe fossile vieux de 2,5 millions d’années déjouait déjà les caprices du climat
À Ahl al Oughlam, site archéologique situé dans une carrière de grès abandonnée près de Casablanca, une équipe maroco-française vient de décrypter, grâce à des dents fossiles, le régime alimentaire d’un grand singe disparu, Theropithecus atlanticus. L’étude montre que cet ancêtre du gélada n’était pas seulement un mangeur d’herbes, mais un primate capable de changer de menu quand l’environnement se durcissait. De quoi revoir l’image de ce genre aujourd’hui réduit à quelques troupeaux sur les hauts plateaux d’Éthiopie. Les détails.