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Malgré l’enjeu du scrutin, qui appelait près de neuf millions d’Ivoiriens à départager les cinq candidats à la présidentielle ce samedi 25 octobre 2025, la journée a été marquée par un calme inhabituel. Si le vote s’est déroulé dans une atmosphère sereine, l’affluence aux urnes a été plutôt timide.

Près de 20.000 candidats sont en lice pour les élections législatives organisées cette année non par une commission indépendante, mais directement par le ministère de l’Intérieur.

La publication des résultats de la présélection aux Instituts supérieurs des professions infirmières et des techniques de santé a suscité une vive polémique. Plusieurs candidats dénoncent des incohérences dans les listes et pointent du doigt un manque de transparence, alors que le ministère de la Santé défend la régularité de ce processus. Cet article est une revue de presse tirée du quotidien Assabah.

Comment expliquer un tel intérêt pour la présidentielle d’octobre prochain? Magouilles du parti au pouvoir, cherté de la vie, banalisation du poste de président... tels semblent les ingrédients qui ont ouvert l’appétit aux 82 candidats, un chiffre record qui alimente les débats aux quatre coins du pays.

Le coup d’envoi des épreuves du baccalauréat a été donné ce jeudi, mobilisant 495.395 candidats à travers le Royaume. Le ministère de l’Éducation nationale met tout en oeuvre pour garantir une session fiable et équitable.

Le 29 mai prochain à Abidjan, les actionnaires voteront pour l’élection du nouveau président de la Banque africaine de développement. Parmi les cinq candidats figure le mauritanien Sidi ould Tah, président de la Banque arabe pour le développement économique de l’Afrique.

Affiches, tee-shirts, banderoles, pagnes personnalisés... en période électorale, imprimeurs et couturiers sont sollicités par les partis politiques. Cette intense activité fait décoller le chiffre d’affaires de ces artisans. La présidentielle est prévue pour le 12 avril prochain.

Huit candidats, dont Brice Clotaire Oligui Nguema et Alain-Claude Bilie-By-Nze, briguent la présidence gabonaise le 12 avril. Priorités: lutte contre le chômage et la corruption et réduction de la dépendance pétrolière. C’est la première fois depuis 1967 qu’une élection présidentielle va se tenir sans la famille Bongo.

Dans cet entretien, le Zambien Samuel Munzele Maimbo, candidat à la présidence de la Banque africaine de développement (BAD), revient sur son programme, s’il est élu, décline son «Plan Marshall» pour l’Afrique, les réformes de l’institution, les risques liés aux contributions américaines sous l’ère Trump… Pouvant compter sur de nombreux soutiens, Dr Maimbo, l’un des favoris de l’élection de mai prochain, a plus de 30 ans d’expérience dans le développement, les marchés financiers, la mobilisation des ressources et la planification stratégique. Il est actuellement vice-président en charge du budget, à de l’examen des performances et de la planification stratégique à la Banque mondiale. Il aura face à lui quatre autres candidats.