Tous les articles correspondant à #Abdellatif Jouahri

Dans un entretien accordé à Sky News Arabia, Nadia Fettah Alaoui, ministre de l’Économie et des Finances, a réaffirmé que le gouvernement n’a pas l’intention de recourir au tirage des ressources disponibles au titre de la Ligne de crédit modulable (LCM) auprès du FMI. Elle a également profité de cette occasion pour clarifier la position de l’exécutif sur la réforme du régime de change et revenir sur le retour récent du Maroc au statut «Investment grade» auprès de l’agence de notation Standard & Poor’s.

Le roi Mohammed VI, accompagné du prince héritier Moulay El Hassan et du prince Moulay Rachid, a reçu, mardi au Palais royal à Tétouan, Abdellatif Jouahri, wali de Bank Al-Maghrib, qui a présenté au Souverain le rapport annuel de la Banque centrale sur la situation économique, monétaire et financière au titre de l’exercice 2024.

Bank Al-Maghrib a mené une première expérimentation qui a porté sur le cas d’usage de paiement (Peer-to-Peer) de détail. Une deuxième expérimentation, en collaboration avec la Banque centrale d’Égypte et avec l’appui de la Banque mondiale, sur le cas d’usage dans le transfert transfrontalier, est en cours de réalisation.

À l’occasion du 23ème forum sur la stabilité financière islamique, les 2 et 3 juillet 2025 à Rabat, le gouverneur de Bank Al Maghrib, Abdellatif Jouhari, a plaidé pour des réformes ambitieuses afin de consolider la résilience du système financier islamique. Un secteur en pleine expansion dans lequel le Maroc, bien que novice, affiche un potentiel remarquable. Cet article est tiré d’une revue de presse d’Al Ahdath Al Maghribia.

Adoption d’une politique de ciblage d’inflation, suppression du panier de devises servant de référence pour la cotation du dirham, maintien de la bande de fluctuation des cours de change. Tels sont les principaux changements prévus dans le cadre de la deuxième phase de la réforme du régime de change au Maroc. Celle-ci sera achevée avant 2028, a fait savoir le wali de Bank Al-Maghrib, Abdellatif Jouahri, devant la commission des finances relevant de la chambre des conseillers.

Les membres de l’IFSB, réunis à Rabat, appellent à accélérer les réformes pour renforcer la solidité du système financier islamique. Objectif: en faire un pilier crédible de la finance mondiale, à travers une convergence réglementaire, une dynamique d’innovation et une coopération internationale renforcée.

Abdelatif Jouahri, wali de Bank al-Maghrib, tire la sonnette d’alarme sur la perte croissante de cadres hautement qualifiés au sein des institutions marocaines. En seulement deux ans, la Banque centrale a vu partir 20 talents, illustrant un phénomène plus large de fuite des cerveaux qui menace le développement économique et social du pays. Cet article est une revue de presse tirée du quotidien Al Ahdath Al Maghribia.

La baisse du taux directeur décidée par Bank Al-Maghrib suscite des interrogations face à la hausse persistante des prix perçue par les Marocains. Pour assimiler cette apparente contradiction, il faut saisir la différence entre l’inflation, phénomène monétaire maîtrisé par la banque centrale, et la hausse des prix, qui est un problème structurel de notre économie.

Lors d’une conférence de presse tenue le mardi 18 mars, le Wali de Bank Al-Maghrib, Abdellatif Jouahri, a abordé divers enjeux, cruciaux, parmi lesquels la réduction du taux directeur, l’inflation, le financement des TPE et la monnaie digitale. Il a notamment exprimé ses préoccupations quant aux nouvelles orientations de l’Union Européenne, concernant les banques étrangères, soulignant leur impact potentiel sur la balance des paiements et les dépôts bancaires des MRE. Une revue de presse tirée d’Al Ahdath Al Maghribia.