Décidément, les crises d’hystérie collective semblent devenir une mode chez les élèves des étabissements du cycle secondaire
Après Casablanca, voici plusieurs semaines, le même scénario spectaculaire s’est rejoué, cette fois-ci à Biougra, une petite ville de la région du Souss.
Selon nos sources sur place, une première élève a été victime d’une crise de nerfs.
Ses cris stridents, avant qu'elle ne soit transférée aux urgences de l’hôpital provincial Mokhtar Soussi, ont provoqué la crise similaires de trois autres de ses camarades de classe, puis d'un autre élève du même établissement.
Selon Jamaâ Boukdid, président de l’Association des parents d’élèves de l’établissement, la première élève, poursuivant ses études à la troisième année du collège, a été victime d’une crise d’épilepsie.
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Cette crise d’hystérie collective a mobilisé les autorités locales, sécuritaires et sanitaires qui se sont déplacées pour prendre les mesures nécessaires.
Nos sources indiquent que les élèves ont quitté les urgences après y avoir été soignés, et ajoutent que ces jeunes élèves n’ont été sous l’effet d’aucune drogue et qu’il s’agit, de plus, d’un cas isolé.