L'inadmissible dérapage anti-marocain de ce politicien espagnol

Miguel Urbán Crespo, co-fondateur de Podemos, parti d’extrême-gauche. 

Miguel Urbán Crespo, co-fondateur de Podemos, parti d’extrême-gauche.  . DR

«Mohamed VI déclare la guerre à ceux qui manifestent pacifiquement au Sahara Occidental. Les détentions et les condamnations ne s'arrêtent pas et l'Europe ne parle pas», s'affole le dénommé Miguel Urbán Crespo, co-fondateur de Podemos, parti d’extrême-gauche. Riposte.

Le 22/11/2019 à 13h49

On avait beau laisser ces vaches espagnoles «baver» comme bon leur semblait, grand était notre espoir qu’un jour, elles reviendront à la raison et arrêteront de «meugler» à l’encontre du Maroc. Or, rien ne semble arrêter les idiots biscornus de l’extrême-gauche, au point que les affaires internes du Maroc, au lieu de celles de l’Espagne!, "s'invitent" au coeur de leur «programme politique»!

L’occasion de ce propos, est la sortie gerbante du gauchiste Miguel Urbán Crespo, co-fondateur de Podemos, qu’on ne vous présente plus tellement cette raclure faisant figure de "parti" pue la haine et la rancune envers le Maroc. Tenez, «Mohamed VI déclare la guerre à ceux qui manifestent pacifiquement au Sahara Occidental. Les détentions et les condamnations ne s'arrêtent pas et l'Europe ne parle pas», a-t-il beuglé, sans même prendre de gants, ni protège-jambes encore moins de casque pour protéger son museau d'hypocrite!

Par cette volée non calculée, suintant l’ingérence inadmissible dans ce qui ne le regarde strictement pas, voire la délation auprès de l’Europe, Miguel Urbán Crespo, également "très respectable" eurodéputé, voudrait «presser» les autorités marocaines de relâcher cette "séparatiste de l'intérieur" dénommée Mahfouda Lafkir, arrêtée mi-novembre, après avoir inadmissiblement agressé un fonctionnaire au tribunal de Lâayoune, où elle était accourrue pour "soutenir" des criminels mis en cause dans les fâcheux incidents survenus le 19 août dans le centre de la capitale du Sahara marocain, à l’issue du sacre algérien à la CAN 2019 en Égypte.

Circulez, rentrez, car pas un seul mot n’a été touché au sujet de cette décision judiciaire «liberticide», pas plus d’ailleurs qu’au sujet de la «liberté d’opinion» qui devient un délit dès lors que cela touche à la souveraineté et à l'unité territoriales du royaume ibérique.

Malgré cet enchaînement d’entorses à la liberté d’expression, le très (courageux) député gauchiste a préféré regarder ailleurs, en se défaussant sur les autorités marocaines, à leur tête la plus haute autorité du royaume du Maroc, le Roi Mohammed VI!

Bien sûr, l'honorable député est cité ici à juste titre illustratif, bien d’autres politiciens espagnols, de quelque obédience qu’ils soient, se confinent dans le même étrange silence d’enterrement face aux «violations des droits de l’Homme» par les autorités de leur propre pays.

On pense particulièrement à cette Coalition de gauche radicale, "Adelante Andalucia", qui vient même d'annuler une rencontre avec notre Consul à Séville, en guise de protestation contre l’arrestation de ladite activiste sahraouie citée plus haut! 

Au lieu de s'intéresser à la situation de leur pays, ces gauchistes espagnols préfèrent, du haut de leur schizophrénie chronique, pointer leurs "armes" vers le Maroc, devenu étrangement un sujet de politique intérieure en Espagne!

Ils veulent bien voir la paille dans l'oeil de leur voisin du sud, mais pas la poutre dans le leur.

Pitié! 

Par M'Hamed Hamrouch
Le 22/11/2019 à 13h49