Le Polisario, ou quand le poisson pourrit par la tête!

Brahim Ghali, patron du Polisario.

Brahim Ghali, patron du Polisario. . dr

Le Polisario vient de déposer plainte contre un fabricant breton de conserves de poissons, basé à Agadir. En cause, l'origine "sahraouie" des animaux traités! Qui a dit que le poisson pourrit par la tête?

Le 22/09/2018 à 12h44

«Chancerelle est profondément choquée des violentes attaques du Front Polisario et confirme la totale légalité des activités de sa filiale Belma à Agadir», indique un communiqué diffusé hier vendredi par le fabricant breton de conserves de poissons, en réaction à une plainte déposée par le front séparatiste, via son avocat français Me Gilles Devers, auprès du tribunal de grande instance de Paris.

Dans ce communiqué, relayé par l’Agence France Presse, l’entreprise affirme refuser de servir de «prétexte dans une affaire de géopolitique en dehors de ses compétences», soulignant examiner avec ses conseils la riposte à apporter à cette plainte déposée en milieu de semaine au tribunal parisien.

Le front séparatiste à la botte des généraux algériens, autant que leur avocat (un ancien infirmier, soit dit au passage), ignore-t-il les notions de géographie au point de confondre Agadir avec Laâyoune?

Pas tout à fait! Le "péché" qui serait en effet reproché au fabricant breton est d'avoir investi dans une conserverie basée dans le chef-lieu du Sahara marocain, Laâyoune!

Que dire alors de cette kyrielle de multinationales qui ont pignon sur rue, à Laâyoune même, dont MacDonald's, géant américain du fast-food?

Mais voilà, dans sa très curieuse plainte, Me Devers décrète que le poisson traité par le fabricant breton est d’origine «sahraouie»! On a envie de sourire, mais ce type est (sérieusement) sérieux! D'où tient-il le certificat de naissance de ce poisson?

Une chose reste sûre: ce poisson ne naît pas dans les dunes mouvantes de Lahmada-Tindouf!

Autrement dit, voilà du délire pur jus! En effet, le Polisario (et son requin d'avocat) en ont à revendre. Tenez donc: la partie plaignante accuse le fabriquant breton de «crime de guerre»!

Qui a dit, déjà, que "le poisson pourrit par la tête"?

Par M'Hamed Hamrouch
Le 22/09/2018 à 12h44

Bienvenue dans l’espace commentaire

Nous souhaitons un espace de débat, d’échange et de dialogue. Afin d'améliorer la qualité des échanges sous nos articles, ainsi que votre expérience de contribution, nous vous invitons à consulter nos règles d’utilisation.

Lire notre charte

VOS RÉACTIONS

Le polissario nous apprend que le poisson nait dans les dunes sahariennes...N'importe quoi...!

Le Polisario exploite la position que L'Union Européenne a décidé d'adopter contre le Maroc, en réponse à la politique africaine de celui-ci, qui dénonce fortement le néo colonialisme européen. Un retour en arrière est impossible, depuis que l'Europe à érigé sa position en loi,édictée par sa cour européenne. Le Maroc doit se défendre sur tous les plans, comptant sur la volonté de son peuple, et de son Roi, pour terrasser ses ennemis, et neutraliser ses adversaires.

Pourquoi ce monsieur X defend il des terroristes? Les Sahraouis, les Tadlaouis, les Soussis, les Doukkalis ... sont tous des marocains et des freres. Pourquoi veut on separer entre eux? Le polisario ne represente que le Tindouf d Algerie!

Bof ce toutou polizbel n'est autre qu'un esclave des Bermils galonés ÅneGériens, par contre le pauvre peuple algérien va casquer les frais de procédure et ceux des avocats comme d'hab pour un résultat double 00 et la banana est toujours introuvable dans l'ex-département Franco-Ottoman.

un soi disant maitre cornichon !

Hahaha ils tiennent au certificat de naissance du poisson !! Du jamais vu. Mais portons plainte contre l'Algérie qui heberge et finance et arme le mouvement terroriste du polisario et a sa tete le tortionnaire et criminel de guerre brahim ghali. Le TPI et interpol doivent mettre la main sur ce criminel notoire !

Faute d'arguments solides,l’Algérie joue la diversion par le recours à ces vielles méthodes de surcroît inefficaces si ce n'est délirantes.

0/800