"Ce sont de pures allégations provenant d’esprits malintentionnés", ont affirmé lundi à Le360 des sources concordantes démentant catégoriquement les informations selon lesquelles le nom du criminel espagnol, Daniel Galvan, qualifié "d’espion" avait été inscrit sur la liste pour satisfaire un service espagnol.
Ces informations qualifiées "de fausses" par ces mêmes sources prétendent que l’espagnol aurait été mis sur la liste à la "demande des services de renseignement ibériques" et qu’il s’agirait d’un "espion". "Citant une source anonyme proche du dossier", ces informations assuraient que sa "présence (du criminel) sur la liste résultait en réalité d'une faveur accordée par Rabat au CRI, l'agence de renseignement espagnole". Cité par la presse espagnole, ce CRI a démenti tout lien avec le pédophile espagnol.




