Armement: comment l’Algérie veut désormais acheter américain, et pourquoi la greffe risque de ne pas prendre

Lors de la signature, le 22 janvier 2025, du mémorandum d’entente militaire entre les Etats-Unis et l'Algérie, représentés respectivement par le commandant de l’Africa Command, le général Michael Langley, et Saïd Chanegriha, le chef de l’ANP.

Lors de la signature, le 22 janvier 2025, du mémorandum d’entente militaire entre les Etats-Unis et l'Algérie, représentés respectivement par le commandant de l’Africa Command, le général Michael Langley, et Saïd Chanegriha, le chef de l’ANP.

Mandaté par le régime, Sabri Boukadoum, ambassadeur algérien aux États-Unis, joue habilement la carte d’une coopération militaire avec Washington, à fortes doses de contrats d’armement, pour éviter les sanctions et se repositionner au Sahel. Un tel virage stratégique s’avère néanmoins complexe au vu de la forte dépendance algérienne vis-à-vis d’une Russie qui, ainsi trahie, ne restera pas les bras croisés.

Le 17/03/2025 à 15h01

Le coup de com’ est cette fois réussi, l’opération de charme aboutie, le revirement, les arguments comme la technique à même de plaire. Mais c’est beaucoup plus facile à dire qu’à faire. Il en va ainsi de la récente sortie médiatique de Sabri Boukadoum, ambassadeur d’Algérie aux États-Unis, dans les colonnes du média américain DefenseScoop. Revigoré par le mémorandum d’entente militaire signé le 22 janvier dernier entre les États-Unis et l’Algérie (représentés respectivement par le commandant de l’Africa Command, le général Michael Langley, et Saïd Chanegriha, le chef de l’ANP), le diplomate algérien s’est livré, le 7 mars dernier, à un véritable numéro de charme pour démontrer la prédisposition de l’Algérie à opérer le shift du siècle: le passage, radical et sans transition, d’une dépendance militaire quasi exclusive vis-à-vis de la Russie à un armement américain tous azimuts.

Fin diplomate, autrefois ministre des Affaires étrangères (2019-2021) et ancien Premier ministre par intérim, Sabri Boukadoum sait y mettre les formes. Il fait sienne la célèbre expression américaine «The sky is the limit». «Nous avons un dialogue militaire en cours depuis des années. Ainsi, le [mémorandum d’accord entre l’Algérie et les États-Unis] établit simplement un cadre juridique pour notre coopération et ouvre la porte à de nombreuses autres possibilités à l’avenir», a déclaré Boukadoum à DefenseScoop.

Parmi celles-ci, il a cité les échanges de renseignements maritimes, les opérations de recherche et de sauvetage ainsi que les efforts de lutte contre le terrorisme dans et autour du Sahel et, surtout… des achats d’armes américaines par l’Algérie. Une première historique. «Le ciel est la limite», a déclaré l’ambassadeur lorsque le média américain lui a demandé quelles étaient les priorités de l’Algérie dans cette coopération militaire. Pour tout cela, les deux pays ont formé trois groupes de travail pour établir le plan de mise en œuvre du MOU et définir les prochaines étapes.

L’art du deal

Les objectifs de la manœuvre sont multiples. Il s’agit avant tout de séduire une nouvelle administration américaine qui ne porte nullement le régime d’Alger dans son cœur. Un régime dont les acquisitions militaires russes n’ont cessé d’inquiéter Washington. Pour rappel, la bête noire du régime d’Alger aux États-Unis, c’est un certain Marco Rubio, secrétaire d’État américain. Pas plus tard qu’en 2022, c’est lui qui a appelé le département d’État américain à prendre des sanctions contre la junte au pouvoir, qui se goinfrait d’armes russes au moment où la Russie envahissait l’Ukraine. Dans une lettre adressée le 14 septembre 2022 au secrétaire d’État Antony Blinken, il avait pointé du doigt le voisin de l’Est comme étant «un des principaux acheteurs mondiaux d’équipements militaires de la Fédération de Russie».

Le républicain s’était alors appuyé sur le Countering America’s Adversaries Through Sanctions Act (P.L.115-44), une loi qui autorise la prise de sanctions à l’encontre de toute partie qui «s’engage sciemment dans une transaction importante avec une personne qui fait partie des secteurs de la défense ou du renseignement du gouvernement de la Fédération de Russie, ou qui opère pour ou au nom de ces secteurs».

Dans la foulée de sa missive, 27 députés, aussi bien républicains que démocrates, ont adressé, le 29 septembre de la même année, une autre lettre à l’ancien secrétaire d’État Antony Blinken dans laquelle ils interpellaient l’administration de leur pays et appelaient à l’instauration de sanctions contre le régime algérien. En cause, là encore: le fait que Moscou soit aujourd’hui le plus grand fournisseur d’armes d’Alger. La même année 2022, l’Algérie avait acheté pour 7 milliards de dollars d’armements russes.

L’astuce est toute trouvée: acheter américain, c’est pour le régime un moyen de juguler le risque de sanctions. «S’armer américain peut servir de moyen pour calmer bien des esprits aux États-Unis tout en les mettant un peu en égalité avec la Russie», explique Abdelhak Bassou, spécialiste en affaires sécuritaires et de défense.

Autre visée algérienne: s’attirer les faveurs de Washington en se présentant comme un vassal fiable à même de «servir», notamment dans la région. Sabri Boukadoum a d’ailleurs tenté de «vendre» l’idée. «L’avantage des Algériens (pour les États-Unis, NDLR), c’est que nous avons le facteur humain, en étant présents sur le terrain en Afrique du Nord […] L’écoute clandestine, les satellites et toutes ces choses sont essentielles aux opérations de sécurité américaines à l’étranger. Mais il faut connaître les gens— les tribus et toutes les interactions entre elles— il faut avoir l’information humaine».

On l’aura compris, le but est de se replacer sur un échiquier sahélien où Alger ne compte désormais que des ennemis, en jouant la carte d’une alliance avec les tout-puissants États-Unis. Ceci, d’autant plus qu’il y a deux ans, un changement dans la Constitution a autorisé l’armée algérienne à agir en dehors de ses frontières. «Il y a cette intention, cette volonté du pouvoir algérien de revenir sur le plan régional, notamment au Mali, et international et d’y jouer un rôle. Le régime voisin pense que le parapluie américain l’y aidera», ajoute Bassou.

Opération hara kiri

Last but not least, en achetant américain, Alger veut s’assurer un armement un tant soit peu opérationnel, efficace et moderne. L’armement russe a en effet montré bien des limites lors de la guerre en Ukraine. La deuxième armée la plus puissante au monde a eu bien du mal à s’imposer devant les drones et les renseignements mis à la disposition des troupes ukrainiennes. «Jusqu’ici, l’Algérie, c’est l’école soviétique, celle du nombre. Sauf que certaines stratégies, notamment ukrainiennes, nous montrent que la tactique militaire n’est pas arithmétique. Alors que les Russes tablaient sur une blitzkrieg, une guerre éclair qui allait de suite régler le conflit, nous y sommes encore», souligne Mohammed Loulichki, ancien ambassadeur et spécialiste en diplomatie et résolution des conflits.

Mais un pays, quel qu’il soit, peut-il du jour au lendemain changer de fusil d’épaule en matière d’approvisionnement en armes? Rien n’est moins sûr. Alors que la coopération militaire entre les États-Unis et l’Algérie en est à ses balbutiements, le chemin vers une appropriation par l’Algérie de l’armement américain sera long et fastidieux. C’est toute la doctrine militaire algérienne, valable depuis l’indépendance du pays, qu’il faudra revoir. «Nous savons tous que lorsqu’un pays est traditionnellement le client d’une source d’approvisionnement en armement, il devient en quelque sorte conditionné. Parce que l’armement vient avec la formation, l’interopérabilité, les règles d’engagement. Tout cela est impossible à changer du jour au lendemain», explique Loulichki.

«Il aura fallu cinq ans d’entraînements intensifs à des pilotes marocains pour maîtriser le maniement des Apache fraîchement acquis par les FAR, pourtant habituées au made in USA. C’est dire qu’un armement, c’est aussi une technologie et un savoir-faire qui s’acquièrent sur le long cours. C’est aussi une capacité à l’entretenir. Ce qui est une science en soi. Rappelons qu’avec les F-16, le Maroc s’est doté de toute une plateforme de maintenance précédée de plusieurs années de mise en place et de formation», abonde cet expert militaire.

Pendant ce temps, il n’est pas sûr que le «grand frère» russe, ainsi trahi, reste les bras croisés. Les mauvaises langues voudraient que la frappe du mardi 11 mars de missile balistique russe sur le port d’Odessa, dans le sud de l’Ukraine, qui a fait quatre morts et coulé une cargaison de blé destinée à l’Algérie, soit un tir de sommation. Une chose est certaine: bien avant de gagner les faveurs des États-Unis, dont le premier allié militaire en dehors de l’OTAN est, et restera, le Maroc, l’Algérie aura eu le génie de perdre le peu qui reste de la bienveillance russe. Et il en reste très peu.

Par Tarik Qattab
Le 17/03/2025 à 15h01

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Ils sont prêts à tout pour peu que la bénédiction leur sourit et que le Maroc sera déstabilisé après avoir reçu en héritage forcé le Sahara orientale. Mais la faute à qui ? Qui a tendu la main malgré la situation d’humiliation ? Qui n’a pas répondu en conséquence des agissements belliqueux ? Qui a laissé entrer sur Marrakech ou Laayoune ou … des indésirables usurpateurs falsificateurs ? Comment l’algérien Nekkaz à pu atterrir sur Marrakech pour plaidoyer la cause Polizbel et l’histoire soi-disant commune ? Qui a cherchéun pacte de bon voisinage malgré les expulsions sans dédommagement ? Décidément , le pouvoir marocain à participé à humilier les marocains malgré leur insistance d’actions réciproques certes réfléchies et graduées mais réellement efficaces ! If the cap fits, wear it !

1. les américains ne sont pas dupes et ils voient clair dans le jeu malsain des capos. 2. c'est une bonne chose pour nous car si les capos veulent la sympathie des yankees ils doivent s'aligner sur les intérêts américains et non le contraire. 3. les intérêts américains sont incompatibles avec les visions déstabilisatrices du régime voyou d'alger. 4. ce n'est pas quelques petits contrats d'armement, de vaches laitières ou de pelles de terres rares qui vont influencer la géopolitique et la géostratégie d'une puissance comme les USA sinon ils l'auraient déjà fait avec la chine et la russie depuis lontemps. 5. c'est une bonne chose aussi parce que les capos ont ainsi perdu un vieux allié qui est la russie et ne gagneront jamais la confiance totale des américains.

دجاجة بكامونها pour les américains. Ces derniers n'ont pas d'amis, ils ne cherchent que leurs intérêts. Regardez ce qui se passe actuellement avec l'Europe pourtant son allié dans l'OTAN. Au fait. Pour quand ce consulat à Dakhla? Ou bien les américains tomporisent pour demander encore une contrepartie? Ils vont sûrement faire remonter les enchères du moment que la misérable algérie est entrée sur scène et est prête pour brader son pays juste pour contrer le Maroc.

Le Royaume du karghoulistan ne sait plus sur quel pied danser. La mafia politico-militaire wled oum hassan sont tellement hypocrites et capable de vendre leur serwal pour rester au pouvoir. Si demain, Israël reconnaîtra leurs terroristes du polikhario, cette mafia politico-militaire d'oum hassan de l'Est est capable de transformer Benyamin Natanyaou en mère Thérèsa 😂. C'est dingue, plus personne ne désire ou coopère avec ce vieux pouvoir assassin militaire algérien, mêmes les ânegériens en Europe sont rejetés. Yalatif des vrais pestiférés ces DZibiens. Comme par exemple : les Émirats Arabes Unis ne délivreront plus de visas pour les algériens vivant en ALGÉRIE. Aussi un CERTIFICAT de santé mentale exigé pour le algériens d'Europe et ailleurs. Voir le Net. Bled dial kdoub, fouhane et Mrad.

Ce n'est pas un pays fiable. Ces dirigeants sont indignes de confiance. Comment le président Tebboune, peut-il affirmer en juin 2023 que «Poutine est un ami de l'humanité» lors du forum économique de Saint Petersbourg et d'ajouter que le contact avait été «franc et amical, ce qui témoigne du haut niveau dans les relations» russo-algériennes, «Nous avons des relations historiques, et elles ne peuvent pas changer, même si la situation dans le monde change. Nos relations sont les mêmes depuis plus de 60 ans et l’Algérie y reste grandement fidèle», «Nous voulons accélérer notre adhésion aux BRICS afin d’entrer dans un système autre que celui du dollar ou de l’euro. "et venir se vendre et vendre l'Algérie à l'oncle SAM ?

Est ce que le niveau des bakchich des américains aux cabranates sera -t-il aussi élevé que celui des russes. Dans tous les cas le dindon sera encore le peuple algérien. C'est pas encore le moment pour lui d' avoir du lait et de l'huile. Quoi qu'ils fassent le régime algérien finira par sauter sur une mine russe ou américaine, ce n'est que question de mois.

Armement: comment la junte DZ veut désormais acheter américain, et pourquoi la greffe risque de ne pas prendre : C'est l'effet des BRICS qui reste en travers de la gorge aux purs jus karghoulis Pour rappel, Poutine "L'AMI DE L'HUMANITÉ 😂" avait refusé les débiles mentaux (1962) de rejoindre les BRICS, un refus humiliant de la part des pays BRICS, malgré les efforts déployés par le vieux clown kedboune pour courtiser la Russie et obtenir l’appui nécessaire, mais rien y faire, les sous-développés de l'Est ont été exclus des cinq nouveaux candidats pour rejoindre les BRICS. Comme leur égo démesuré (DZ) a été touché et piétiné, alors ils se sont mis à la lèche pour se rapprocher des USA => amis des sionistes, comme le disaient ces ÂneGériens, il y a à peine qqs mois. Yalatif, ni dine, ni mela

Les américains signent ce qui appartient à leur vision conjoncturelle, murmurent les jalons du futur, ne révèlent jamais leurs intentions et n oublient jamais le mal causé par un sujet ,qu il soit personne physique ou étatique, comme ils n oublient jamais les liens qui les attachent à leurs vrais amis....quand le jour J sonnera, ils vont exorciser ce pouvoir algérien et le libérer de ses démons au cours du mandat du président Trump...

Trump est un bon homme d'affaires, il a su acheté tout un pays rien qu'avec un Twit qui a fait pisser les chapeaux dans leur couches déjà mouillées, les Ânegeriennes et Ânegeriens sont désormais la propriété de Donald Trump,

Les USA ont arraché un sac aux européens ( la France) et un enfant à jouets aux russes. Tout en préparant un daufin ( future président) : Bougadoum.

Que l Algérie commence as pensé as déjà redonné nos Terre marocaine et as expulsé Sais saleté de Tindouf aussi avant d essayer d acheté américain ou essayé apres on verra 'e reste sais le maroc avant tout capiche tebouniche

Si Alger va chez l'oncle sam c'est que toutes les portes russes lui sont fermées et que devant La France, le tout convoitises n'a servi à rien . Quand Alger va quelques part c'est pour contrarier Le Maroc. Une approche enfantine des relations internationales .Une autre hypothèse, Alger se sentant rejetée par les membres du Brics, a simplement eu peur ,sauf que la peur peut conduire à la gueule de bois dévastatrice. La diplomatie équilibrée c'est pour les intérêts stratégiques ,politiques et socio-culturels du pays Quand ca sort de cet objectif; c'est peiner et ...perdre ses ressources .Seule la sagesse, le respect du voisinage peut mener au bon port. Courir pour prétendre pouvoir détruire l'autre un frère en l'occurrence ca va finir par se retourner contre soi .ALLH I ASTIR .MERCI.

On appelle sa un copier coller comme ils sont vues qu'ils seront perdant dans tous les domaines il copie la géopolitique et la culture Marocaine comme le caftan le jalij et ils sont vus que le Maroc a les s'armes de pointe et surtout les hélicoptères apaches maintenant ils veulent acheter comme le Maroc avec leurs arguments bidons

C’est une bonne nouvelle! On appelle ça: «The gift that keeps on giving». Pourquoi? Justement, parce que la Russie, qui est membre permanent du Conseil de sécurité des Nations Unies, aurait finalement les mains libres pour passer à l’acte tant attendu d’elle: la reconnaissance de la marocanité du Sahara. Ils seraient donc trois des cinq membres à sortir de leurs zones de confort, et ne resteraient plus que la Chine et le Royaume Uni qui auraient la tâche plus facile de clore ce dossier au niveau de l’ONU. En plus, dans le cas de la Russie, ça serait l’occasion de s’aligner sur la position de l’administration de leur «bon ami» Trump. Le genre de geste qu’il apprécie! Au niveau africain, ça voudrait dire aussi que le Mali et la République centrafricaine emboîteraient le pas à la Russie.

Ces Ânegerienne sont prêts à paxcer avec le diable rien que pour nuire au Maroc et aux marocains, leur intégralité territorial et leur symboles, Et comme a dit l'ancien cheikh algérien d'une zawiya au mécréant El Maقdour Benقrina, "Le Maroc et son Sahara vont être la ruine de l'ânegerie et la cause de son implosion jusqu'au abymes"

Pourtant les USA sont pro Israël, prosionistes comme aiment bien le répéter les caporaux sans dignité et lâches algériens qui sont prêts à baisser le pantalon de treillis jusqu'aux chevilles et le nez 👃 jusqu'au ciel... L'hypocrisie à l'état pure.

Pourtant les USA sont pro Israël, prosionistes comme aiment bien le répéter les caporaux sans dignité et lâches algériens qui sont prêts à baisser le pantalon de treillis jusqu'aux chevilles et le nez 👃 jusqu'au ciel... L'hypocrisie à l'élat pure.

Le $ et la politique n’ont pas d’odeur ! Money is money ! il s’agit de la dissimulation ou de la mesquinerie ou de cas pratique pragmatique. L’histoire enseigne que les juifs marocains sont souvent restés fidèles à leur pays d’origine plus que des soi-disant arabo-Khawa et qlq marocains à slogan “préférer Gaza que Taza”! Le royaume a fait beaucoup d’erreurs d’appréciation et de gestion du conflit avec le pays de l’autre monde ; à commencer par la non récupération du Sahara orientale au moment opportun. À méditer !

les USA seraient prêts a leur concéder la vente bétonnière a télécommande infra rouge ils ont trop de ferrailles soviétiques pour ce faire, il leur faudra 20 a 30 ans matériels et personnels surtout le système électronique qui sont trop russes, c'est a dire faire comme ce type qui veut repeindre sa maison, il lui faudra tout décoller décaper et remplacer

Le président de la République Tabboune reçoit la Médaille d'or du mérite olympique des songes et des mensonges

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