Le Maroc officiera à ce poste en tant que représentant de l’Afrique, a annoncé la présidente de la conférence, la Costaricaine, Elayne Whyte Gomez lors d’une séance plénière.
Les groupe régionaux seront représentés par deux pays lors de cette conférence, a précisé Mme Gomez, ajoutant que le Royaume siégera à ce poste aux côtés de l’Afrique du sud.
Les autres pays élus jusqu’à présent sont l’Autriche (Europe occidentale), l’Iran (Asie), la Nouvelle Zélande (Océanie) et le Chili (Amérique latine).
La conférence a été instaurée par la résolution 71/258, votée en octobre dernier par l’Assemblée générale, qui prévoit de négocier un “instrument juridiquement contraignant visant à interdire les armes nucléaires en vue de leur élimination complète”.
Ce débat, qui se poursuit jusqu’au 31 mars, connait la participation d’une centaine d’Etats et d’ONG. En cas d’accord sur le texte d’un traité interdisant les armes nucléaires, celui-ci pourrait être présenté pour adoption dès juillet prochain.