Dans ses déclarations, Boris Faure dénonce une "deuxième agression": la «diffamation». Pour lui, tout a commencé par une rencontre "fortuite", le 30 août dernier, avec El Guerrab. "Il n'y a eu dans ma bouche aucune insulte raciste (ni) aucune insulte tout court. L'insulte raciste ne fait pas partie de mon ADN, moi qui, depuis 18 ans, me mobilise d'abord dans la région Paca comme militant antiraciste, et puis maintenant dans mes fonctions (...)", a dit Faure en guise de réponse à l'accusation selon laquelle il aurait traité El Guerrab de "sale arabe".
Il ajoute qu'il n'avait pas tordu le poignet de son contradicteur. "Tout ça c'est du roman de gare", dit-il. La suite dans la video ci-dessous: